Archive for Outubro, 2009

Pretres-ouvriers:

Outubro 29, 2009

One of the most noteworthy religious experiments since World War II has been that of the French worker-priests (TIME, Feb. 27, 1950)—young priests who take jobs and live as workers, saying Mass, hearing confessions and carrying on their pastoral functions in their spare time. The long-range aim of the movement: to reach anticlerical French workingmen who have been notoriously easy prey for Communism. But to many a watchful prelate it has looked as though the worker-priests were more converts than converters. Two of them were arrested in last year’s Communist-inspired riots against General Ridgway (TIME, June 23, 1952); others burst into print from time to time with letters to the Communist press criticizing Catholic labor-union policies as not militant enough. Last week the worker-priest seminary at Limoges announced that its reopening was indefinitely postponed. Simultaneously, the official paper of the diocese of Chartres published a letter sent in July to all archbishops and bishops of France by Cardinal Pizzardo, Prefect of the Sacred Congregation of Seminaries and Universities in Rome. The worker-priest experiment, wrote Pizzardo, has “had a negative influence in the formation of young priests and, because of this, any further attempts of this kind are to be discouraged … As a consequence, this Sacred Congregation absolutely forbids all seminary students in France to engage in any kind of temporary work.” Though only seminarians were so far affected, the 90-odd practicing prêtres-ouvriers in France could see the writing on the wall. A compelling reason for the change in policy was probably the need to conserve France’s supply of young priests, which has been dwindling. According to Cardinal Liénart of Lille, the Seminary of Lille had an average of 53 students a year between 1930 and 1949 but has only 32 today; the Seminary of Carcassonne had 112 students in 1900 and has only 34 now; two other French seminaries recently shut down entirely. With seminarians so scarce, and young men so impressionable, the bishops are not for taking any chances. At a recent gathering of the clergy of Toulouse, peppery, 83-year-old Cardinal Saliège pointed a blunt finger at a group of young priests sitting in the back of the room. “Nous vous avons à l’oeil, mes gaillards [We’re keeping an eye on you, my lads]!” he warned them.

Histoire des prêtres ouvriers

En 1943, deux prêtres, les abbés Henri Godin et Yves Daniel, publient un livre intitulé France, pays de mission ? qui constate la forte déchristianisation des milieux ouvriers en France. Dans le même temps, des prêtres catholiques qui ont accompagné des travailleurs français en Allemagne pour le STO témoignent de leur vie partagée avec les travailleurs.

Sur le modèle de la Mission de France, le cardinal Emmanuel Suhard crée en 1943 la Mission de Paris, destinée spécifiquement à former des prêtres pour la classe ouvrière parisienne.

Après 1945, un certain nombre de prêtres commencent à vivre leur ministère en usine. Ils ressentent leur présence dans ce milieu comme le moyen de rétablir le contact entre l’Église et les travailleurs. Épousant les espoirs et les combats de leurs collègues, ils s’engagent dans les associations, syndicats et même partis politiques, ce qui provoque la méfiance de Rome. Ils participent aux grèves et aux manifestations, et deux d’entre eux sont même arrêtés le 28 mai 1952 au cours de la manifestation contre Ridgway. Sur le même modèle que les prêtres ouvriers, dans les villes portuaires, des prêtres marins apparaissent.

Dans le contexte de la guerre froide, le pape Pie XII décide en 1954 d’arrêter l’expérience des prêtres ouvriers en leur demandant de se retirer des usines. Ils sont alors une centaine, et l’Église craint entre autres leur imprégnation par le Parti communiste français. La plupart obéissent et démissionnent de leurs emplois, mais quelques-uns restent au travail, en se mettant ainsi consciemment en faute vis-à-vis de l’Église. Et en 1959, c’est au tour des prêtres marins de la Mission de la mer d’être condamnés par le Vatican.

La situation se retourne complètement en 1965, après le concile Vatican II : le pape Paul VI autorise à nouveau aux prêtres le travail dans les chantiers et les usines. En 1976, ils atteignent le nombre de 800 en France.

Les prêtres au travail aujourd’hui

Reconnus par l’Église, les prêtres au travail agissent dans les années 2000 au sein d’organismes comme la Jeunesse ouvrière chrétienne, la Mission ouvrière, l’Action catholique ou encore la Communauté Mission de France : ce sont 500 hommes au sein d’équipes à travers la France et 11 autres pays. Ils engagent leurs vies dans la rencontre d’hommes et de femmes qui ne partagent pas leur foi. Cette rencontre se vit au quotidien, dans le travail, les engagements associatifs, politiques ou familiaux. Il ne s’agit pas d’y proclamer une vérité mais d’être présent et attentif à ce qui se vit et se cherche. Prêtres, diacres et baptisés vivent cet engagement en équipe, où ils partagent leurs joies et leurs difficultés, portant ensemble la mission qui leur est confiée.

Ils cherchent souvent à améliorer l’image de l’Église dans le monde du travail, en vivant avec les travailleurs, et à évangéliser en témoignant de leur vie.

Ils sont toujours prioritairement dans des métiers industriels, mais se sont également diversifiés dans les autres secteurs d’activité, d’où leur nom actuel de prêtres au travail. Le monde ouvrier ayant considérablement changé depuis les années 1940, certains prêtres au travail se mettent au service des chômeurs, des victimes de la précarité, ou encore des sans domicile fixe.

Chronologie « Missionnaires au travail » Dates et événements marquants

  • 1927 : Fondation de la JOC, en France.
  • 1928 : Fondation de la JOCF
  • 1933 : Madeleine Delbrel fonde une communauté de femmes laïques à Ivry-sur-Seine
  • Juillet 1941 : Fondation du séminaire de la Mission de France. Louis Augros en est le supérieur
  • Octobre 1942 : Ouverture du séminaire de la Mission de France à Lisieux
  • Juillet 1943 : Fondation de la Mission de Paris
  • Septembre 1943 : Parution du livre d’Yvan Daniel et d’Henri Godin, La France, pays de mission ?
  • Avril 1943 : Monique Maunoury s’installe avec une équipe de femmes laïques dans la Zone à Ivry-sur-Seine
  • 19 décembre 1943 au 15 janvier 1944 : Session de départ de la Mission de Paris
  • Novembre 1944 : Premières équipes (femmes laïques) de la Mission de France féminine à Paris (XIIIe) et au Kremlin-Bicêtre
  • 1945 : Parution du livre d’Henri Perrin, Journal d’un prêtre-ouvrier en Allemagne
  • 1949 : Un décret du Saint-Office frappe d’excommunication les communistes et leurs sympathisants
  • Mai 1949 : Mort du cardinal Suhard et première réunion nationale des prêtres-ouvriers
  • 1950 : Des dominicaines des campagnes décident de sortir de leur couvent pour travailler comme ouvrières agricoles
  • Mars 1950 : Le Mouvement de la Paix lance l’appel de Stockholm. Les missionnaires au travail participent à la campagne de signatures
  • 4 février 1951 : Henri Barreau, prêtre-ouvrier de la Mission de Paris, est élu au secrétariat de l’Union syndicale des travailleurs de la métallurgie de la Seine
  • 1952 : André Depierre participe au congrès de la Paix à Vienne. Louis Augros est démis de sa fonction
  • 28 mai 1952 : Manifestation contre le général Ridgway : deux prêtres-ouvriers sont arrêtés. Parution du livre de Gilbert Cesbron, Les saints vont en enfer
  • 1953 : Fermeture du séminaire de la Mission de France. Rappel des prêtres-ouvriers à Marseille. Des prêtres-ouvriers critiquent le rôle de la CFTC pendant les grèves de l’été 1953
  • Février 1954 : “Manifeste des 73”, dénonçant le choix impossible auquel sont contraints les prêtres-ouvriers. Sanctions contre des dominicains dont le RP Chenu
  • 1er mars 1954 : Ultimatum : interdiction aux prêtres-ouvriers de travailler
  • 1955 : Condamnation de La Quinzaine
  • 1957 : Parution du livre de Madeleine Delbrel, Ville marxiste, terre de mission
  • 1959 : Deuxième interdiction : aucun prêtre ne peut avoir un travail salarié. L’interdiction concerne aussi les prêtres de la Mission de la mer, embarqués à bord de navires.
  • Octobre 1965 : Les prêtres sont autorisés à travailler
  • 1993 : Il y a 580 prêtres-ouvriers en France

THE MEANING OF Lk 9:50:

Outubro 12, 2009

(by Fr.Ivo da Conceição Souza):

Status Quaestionis: This text is used to justify all the groups of the preachers and healers in Goa. Is it correct? Let them preach and heal? Can or should the Bishop of Goa intervene? Should he guide the people? Answer: This question requires the exegesis of the text in Lk 9:50 (and other related to it), as well as its hermeneutical and contextual application. How to interpret and apply the text? The question to be answered is as follows: “Can this text be used to justify the proliferation of groups preaching and healing?” The text runs as follows: “Do not prohibit him: If anyone is not against me, is for me” (Lk 9:50: Me acoluete: hos gar kath’hymon estin, hyper hymon estin). Meaning: Let us see its context: Connecting with the transfiguration, Jesus instructs his disciples about taking one’s cross and following him (Lk 9:23-27). They misunderstand him about “following Jesus”… Jesus predicts for the second time his powerlessness before human beings (Lk 9:44), and builds up on the figure of the child, a prime example of powerlessness. Jesus teaches that greatness comes from being the least. In this context comes Lukan story of the disciples’ quest for power. The lessons of discipleship, newly introduced in Lk 9:7-50, will not be assimilated overnight, but only after his death and Resurrection. The group of Jesus’ disciples considered themselves as a closed group, privileged group, exclusive group. They were the ‘from inside’, ‘in-group’. Whereas those people were ‘from outside’, ‘out-group’. Exegesis of Lk 9:50: What is the meaning of the sentence: “me kwlyete: hos gar ouk estin kath’ hymwn, hyper hymwn estin”? One day, someone who was not the community, using the name of Jesus to expel the demons. Johnw saw and prohibited. He said to Jesus, “barred because he does not walk with us” (Mk 9:38). John thought he had a monopoly on Jesus and wanted to prevent others using the name of it to accomplish something good. It was the old mentality of “the chosen people, separate people!”. Jesus replied: “Do not prevent! Who is not against is in favour “(Lk 9:39-40). For Jesus, what matters is not whether one does or does not part of the community, but whether it does or not and that the community announces to everyone on behalf of God. Disciples misunderstand their relationship to Jesus if they think that theirs is an exclusive one. They must be open and tolerant of others who work ‘in Jesus’ name’ and do not adhere to their group (avoid groupism). Proclamation and preaching: What is the difference? Can they preach officially? They can heal in the name of Jesus. But there is also the problem of orthodox teaching. Are they guiding them well or misguiding? The Bishop has to coordinate the charisms (cf.LG 12). Let them work together with the bishop and the church. Let them work with all people of good will. Healing and preaching: What is the relation between preaching and healing? The Word of God heals. Let the healing come from the truth that the Word is, that God is. Therefore, the truth should be given. What is the responsibility of the Catholic Church face to healers and preachers? It requires training and permission or collaboration with the Bishop. There should be full communion with the Church, when it is the case of the Catholics. Others are free. But our Catholics should be guided not to be misguided by them… Conclusion: Can the text be used to give freedom to all “preachers” and “healers”? In short: 1.There should be coordination of charisms, law and order, full communion within the Catholic Church. 2. Faithful have to be guided by the Bishop and the priests. Otherwise, they will be out of hand. 3. They can work. We cannot stop those who are outside the community or do not obey the Bishop and priests. But let us guide those who are still with us. Let the Bishop guid them…

O SIGNIFICADO DO TEXTO em Lc 9:50: (pelo Pe.Ivo da Conceição e Sousa):

Status Questionis: Este texto costuma ser usado para justificar todos os grupos de pregadores e ‘curandeiros’ em Goa. É correcto? Deixá-los pregar e curar? Pode ou deve o Bispo de Goa intervir? Deveria ele guiar o povo? Resposta: Este quesito requer a exegese do texto de Lc 9:50 (e outros relacionados com ele), bem como a sua aplicação hermenêutica e contextual. Como interpretar e aplicar o texto? A pergunta a ser respondida é a seguinte: “Este texto pode ser usado para justificar a proliferação de grupos de pregação e cura?” O texto diz o seguinte: “Não proibe-lo: Se alguém não está contra mim, é por mim” (Lc 9:50: Me acoluete: kath’hymon hos estin gar, estin hyper’hymon). Significado: Vamos lá a ver o seu contexto: Em conexão com a sua Transfiguração, Jesus instrui seus discípulos a tomar a sua cruz e seguí-lo (Lc 9:23-27). Eles não compreendiam bem o que significava “seguir Jesus” … Jesus prediz pela segunda vez a sua impotência diante dos seres humanos (Lc 9:44), e se concentra na imagem da criança, como exemplo de impotência. Jesus ensina que a grandeza vem de ser o mínimo. Neste contexto vem a história lucana da busca dos discípulos de poder. As lições de discipulado, recentemente introduzido em Lucas 9:7-50, não serão assimiladas dum momento para outro, mas só depois da sua morte e Ressurreição. O grupo dos discípulos de Jesus considerou-se como um grupo fechado, um grupo privilegiado, um grupo exclusivo. Eles eram os ‘de dentro’, ‘no grupo’. Considerando que essas pessoas eram ‘de for a’, ‘fora do grupo’. Exegese de Lc 9:50: Qual é o significado da frase: “me kwlyete: hos gar kath’hymon estin, hyper hymon estin”? Um dia, alguém que não era da comunidade, usando o nome de Jesus para expulsar os demónios. João o viu e quis proibí-lo. Ele disse a Jesus: “barrado porque ele não anda conosco” (Mc 9:38). João pensou que tinha o monopólio sobre Jesus e queria evitar que outras pessoas usassem o nome dele para realizar algo de bom. Era a velha mentalidade do “povo escolhido, povo sequestrado!”. Jesus respondeu: “Não impeça! Quem não é contra é a favor” (Lc 9:39-40). Para Jesus, o que importa não é se um faz ou não parte da comunidade, mas se ele faz ou não o que a comunidade anuncia a todos em nome de Deus. Discípulos não compreendem a sua relação com Jesus, se eles acham que um deles é um exclusivo. Eles devem ser abertos e tolerantes com outras pessoas que trabalham “em nome de Jesus” e não aderir ao seu grupo (para evitar o groupismo e chauvinismo). Proclamação e pregação: Qual é a diferença? Pregarão oficialmente? Eles podem curar em nome de Jesus. Mas há também o problema do ensino ortodoxo. Eles estão orientando-os bem ou de confusão? O Bispo tem de coordenar os carismas (cf.LG 12). Deixá-los trabalhar em conjunto com o bispo e a igreja. Deixá-los trabalhar com todas as pessoas de boa vontade. Cura e pregação: Qual é a relação entre a pregação e cura? A Palavra de Deus cura. Deixe a cura vir da verdade que é a Palavra que é Deus. Portanto, a verdade deve ser ministrada. Qual é a responsabilidade da Igreja Católica face aos curandeiros e pregadores? Ela exige treino e autorização ou colaboração com o bispo. Deve haver plena comunhão com a Igreja, quando é o caso dos Católicos. Outros são livres. Mas os nossos católicos devem ser orientados a não ser mal orientados por eles … Conclusão: O texto pode ser usado para dar liberdade a todos os “pregadores” e “curandeiros”? Em suma: 1.Deve haver coordenação dos carismas, a lei e a ordem, a plena comunhão dentro da Igreja Católica. 2. Fiéis têm de ser guiados pelo Bispo e pelos sacerdotes. Caso contrário, a situação estará fora da mão. 3. Eles podem trabalhar. Não podemos parar aqueles que estão fora da comunidade ou não obedecem ao bispo e aos sacerdotes. Mas vamos orientar aqueles que ainda estão conosco. Deixe o Bispo guiá-los segundo os valores do Evangelho…

Yoga:

Outubro 8, 2009

YOGA Asanas | Pranayama Yoga is a way of life, an art of righteous living or an integrated system for the benefit of the body, mind and inner spirit. This art originated, was perfected and practiced in India thousands of years ago. The references to yoga are available in ‘Upanishads’ and ‘Puranas’ composed by Indian Aryans in the later Vedic and post- Vedic period. The main credit for systematizing yoga goes to Patanjali who wrote ‘Yoga Sutra’, two thousand Years ago. He described the principles of the full eight fold yogic discipline. He composed the treatise in brief code words known as ‘Sutras’. ‘Yoga Sutra’ is the most important basic text on Yoga. It is through this basic treatise that the essential message of yoga spread throughout the world. Aim of Yoga is the attainment of the physical, mental and spiritual health. Patanjali has recommended eight stages of Yoga discipline. They are Yamas- Yamas (abstentions or restrains) Niyamas- Niyamas (observances)-austerities, purity, contentment, study, surrender of the ego Asanas- Physical postures or exercises Pranayama- Control of vital energy (Breathing control) Partyahara- Withdrawal of the senses Dharana- Concentration of the mind (Contemplation) Dhyana- Meditation Samadhi- Attainment of The super conscious state

Reino de Deus:

Outubro 8, 2009

Reino de Deus: BIBLICO-existencial PERSPECTIVAS

* Dr.Ivo da Conceição Souza

Introdução: O conceito de reino e realeza é hoje obsoleto. Podemos imaginar reis (rajas e marajás), com seu show-off de poder, riqueza e glamour. Os tempos são idos quando os reis eram os temas dominantes e lutando para espalhar seu reino territorial sobre a terra. Kings pertencem ao passado, como uma instituição. Existem hoje alguns nominal “reis” ou “reis”, que, na realidade, são a figura constitucional-cabeças. Mas o conceito de “reino”, como “governando”, “imperialismo”, “opressão” ainda está em voga. Hoje vamos pensar em termos de neo-colonialismo, globalização, hegemonia dos direitos de patente. Nós somos todos por um desejo liberado, o reino de “renovada”, uma “revolução do amor”. Vou me debruçar sobre o tema do Reino de Deus, a partir da perspectiva bíblica, um aprofundamento dos textos bíblicos lidar com a “realeza” e “reino”, e depois tirar conclusões a partir das dimensões existenciais. 1.1: O Conceito de Reino Unido e sua terminologia: O Inglês palavra “reino” refere-se ao território, onde o Rei exerce o seu poder, enquanto que o termo grego βασιλεία [basileia] (e as contrapartidas correspondentes semita, malekuth hebraico e aramaico malekhuta), significa principalmente o estado de ser um rei (ou realeza), ou para o exercício do poder real (soberania, reinado, regra geral, o domínio, a dignidade), e apenas secundariamente o domínio do território. As palavras cognatas são Malak, “reinar”, e Melek, “rei”. Se prestarmos atenção a Oração do Senhor, a petição “Venha o Teu Reino!” Irá esclarecer e confirmar o seu significado, ou seja, ele não se refere a um território, mas de um reino que pode vir a acontecer. Não se trata de uma área, não pode ser identificada com a Igreja na sua extensão geográfica e numérica, como quando dizemos: “a extensão do Reino de Deus”. É uma qualidade de existência, em vez de um território, que ele poderia coberto por uma bandeira. 1,2: O significado do Reino e Reinado: King é um governo soberano que exerce autoridade sobre uma área territorial definida (ou estado). O título pode ser puramente ou parcialmente hereditária ou eletiva. O rei age como um símbolo central do território e da população sobre a qual ele governa. Ele simboliza a prosperidade, a fertilidade, e segurança. Realeza refere-se diversas vezes ao posto, a autoridade, de escritório e de dignidade do rei, incluindo o exercício de poder sobre os assuntos do Estado. Realeza em Israel tem moldado a história e as tradições, agora preservado na Bíblia hebraica. Teve também um profundo impacto sobre a história religiosa e secular de Israel, bem como sobre o povo, a comunidade, bem como sobre as suas tradições religiosas e literárias, e as crenças messiânicas. Ela deixou uma marca indelével sobre as tradições religiosas da humanidade. Monarquia é a forma mais comum de governo nas sociedades agrárias longo da história. O desenvolvimento do Estado com o rei como a figura central simbólica representa uma etapa importante na evolução dos sistemas políticos. O rei era responsável pela manutenção da lei e da ordem dentro de um território definido, com o uso de uma força militar profissional e permanente e uma burocracia central dedicado. A burocracia foi modelada nos padrões egípcios. 2,1: Reino de Deus, no Primeiro Testamento: O tema unificador da Bíblia é o Reino de Deus regra perfeita e indiscutível de Deus sobre tudo o que ele criou. Como vimos, a palavra “reino” aqui significa “realeza” ou “reino” em vez de “território governado por um rei”. Nós encontramos Deus como Rei de Israel, em inúmeras tradições bíblicas (Dt 33:5; Juízes 8:23; Is 43:15). O autor dos livros de Crônicas refere-se ao trono de Davi como o Reino de Deus (1 Chr. 17:14; 28:5; 29:11). Nos Salmos, a idéia do reino desempenha um papel importante, mas sua função não é essencialmente devocional, ou seja, para fornecer imagens adequado para louvar a Deus e à concepção é muito mais fluida do que os profetas e escritores apocalípticos. Às vezes, o Senhor é chamado de rei dos deuses (eg.95: 3; cf.82: 1), por vezes, como o rei de todas as nações (eg.47: 2.7.8), às vezes apenas como rei de Israel (eg.149 : 2). O “entronização dos Salmos” (93, 95-99) enfatizam sua soberania sobre toda a criação presentes, bem como o seu futuro vir a julgar a terra (96:13; 98:9, cf. Sl 94). Mais importante do que a questão da extensão do Reino de Deus no espaço é a questão da sua localização no tempo, se é para ser considerada como um fato presente ou uma expectativa de futuro. Nos países desenvolvidos judeus e cristãos que a idéia do reino é usada em ambos os sentidos. Porque Deus é o Criador onipotente de todas ele deve mesmo agora, pelo menos potencialmente, ser o rei de todos. Mas uma vez que actualmente a sua soberania parece ser elevado, há um outro sentido em que ele vai subir ao trono do seu reino apenas no futuro. “Deus é rei”: Esta foi a característica de uma festa anual de entronização do Senhor, celebrada em Israel pré-exílio, durante o qual Deus se acreditava cerimonial para reviver o drama de criação e de cada ano re-ascender ao trono do Universo para dos próximos doze meses. 2.2: From Creation to the End-Time: Primeiro Testamento começa com a história da criação: a abertura onze capítulos do Gênesis são como “ouverture” da sinfonia bíblica não são um registro de eventos científicos e históricos, mas são uma narrativa do amor de Deus, de Sua Alteza Real e amorosa dominará homem rebelde e as outras forças recalcitrantes em sua criação. Eles são um prelúdio para a história da salvação. O primeiro capítulo do Gênesis nos conta como o deus do caos amorfo (tohu-wa-bohu) trouxe o universo à existência de um cosmos, e declarou que era “muito bom” (Gn 1:31). Com uma poderosa palavra de Deus traz à existência o universo do caos. Considerando que o autor enfatiza Yahwistic providência de Deus, a narrativa centra-se na Sacerdotal seu poder. Naquele momento, idealmente falando, o Reino de Deus foi estabelecido. O autor afirma simbolicamente a fé de Israel em um Deus que é o Senhor de tudo que existe, o Rei do Universo. Aqui não há pacto implícito de Deus com o homem. Partes Man in reinado de Deus, quando os nomes dos animais, desde nomes no mundo antigo significava não só a conhecer algo intimamente, mas também para ter uma mão dela-Homem tem autoridade sobre os animais. Mas o Primeiro Testamento passa quase imediatamente para descrever como o Brasil foi interrompida pela desobediência do primeiro casal (Gn 3:1-24). Assim, o tema do-reino a sua fundação, a interrupção e restauração é um tema abrangente, que se estende desde os primeiros capítulos do Gênesis até os últimos capítulos do Apocalipse. É esta concepção do reino que dá unidade à Bíblia e significado para suas várias partes. Os primeiros cristãos viram a sua própria história simplesmente como o clímax e conclusão da história do Reino de Deus, que tinha começado no Primeiro Testamento. É neste contexto que as palavras de Jesus deve ser entendida, ou seja, “O Reino de Deus está próximo” (Mc 1:15), a síntese de sua pregação. Essas palavras formam uma inclusão social com o fim da história, encontrada no último livro da Bíblia, proclamada pelo refrão: “O reino do mundo tornou-se o reino de nosso Senhor e do seu Cristo, e ele reinará para sempre e sempre “(Apocalipse 11:15). Este ponto de vista teológico é o resultado de um longo processo de reflexão crescente de Israel sobre o significado da sua eleição e sua aliança com Deus. Passemos agora à questão histórica: Onde é que a concepção do governo de Deus como um “reino” vir, e quando? Qual foi a origem deste conceito? É verdade que o Senhor tem sido sempre considerada como a melhor fonte de toda autoridade, pelo menos em teoria. Mas quando é que o povo de Israel primeiro começar a conceber Deus como um rei “e de seu governo como um” reino “? Ao responder a esta questão, podemos focar em outro ponto, ou seja, qual foi a extensão do domínio do Senhor, seja chamado de “reino” ou não? Foi apenas sobre a nação de Israel, sobre a humanidade em geral, sobre os outros deuses, ou sobre o Universo criado? Foi no passado, no presente ou ainda a ser alcançado no futuro? 2.3: Na pré-Monárquica Período: É um lugar-comum da bolsa de hoje que Israel antes da ascensão da monarquia foi organizada sob a forma de uma confederação amphictyony-sagrado das tribos constituídas com a finalidade de apoiar um santuário religioso. (Enquanto isso é apenas uma teoria, baseada principalmente na analogia ao amphictyonies grego, ea evidência é indireta e não necessariamente conclusivo, pode ser aceito como uma hipótese de trabalho). O que é perfeitamente certo é que o vínculo de unidade entre as tribos hebraico era uma religiosa, a sua associação foi baseada, não em comum “nacionalidade” (ou a ocupação de um território comum), mas em uma devoção comum para o Senhor Deus. Em um sentido profundo, a confederação israelita foi a primeira manifestação histórica do Reino de Deus. A partir deste pequeno grupo de tribos relativamente inculta, unidos apenas pela sua fidelidade ao Senhor, que em última análise, desenvolvidas a esperança de um dia de Deus, trazendo toda a desordenada universo em conformidade com a sua vontade. No nível do fato histórico o núcleo original da idéia do reino é ver aqui não apenas o início da idéia do reino, mas também o início do atual processo histórico em que Deus tem sido desde então a trabalhar para estabelecer sua reino. Mas parece improvável que a concepção do reino de Deus no sentido de dominação política sobre Israel existia no início deste período, durante o período da confederação na Palestina (a idade dos juízes “) ou o período anterior de vida em o deserto. 2.4: Durante e depois da Monarquia: O estabelecimento do reino de Israel sob Saul, Davi e Salomão, desde o contexto político e cultural que tornou possível a longo prazo, o florescimento da idéia do Reino de Deus. Temos de observar que na medida em que o Senhor foi dado o título de “rei”, provavelmente era apenas como rei dos deuses ou as forças da natureza e não como celeste monarca de um reino terreno. Na verdade a primeira evidência direta de até essa idéia da realeza vem de Isaías na última parte do século 8. Monarquia teve um enorme impacto sobre a idéia do Reino de Deus, após ter desaparecido. Quando não havia mais um rei humano sentado no trono, os homens de Israel, começou a pensar em Deus como seu rei. Israel, sendo tribais e democrática, iria sentir a monarquia como uma importação estrangeira. A passagem da monarquia terrestre seria inclinar-los a pensar de forma mais favorável à ideia de uma monarquia celeste. 2.5: Regra de Deus sobre Israel; Religião de Israel tinha um forte caráter social, foi incorporado, ele era uma religião preocupada com a vida do grupo e não com a vida dos indivíduos. Para colocá-lo de forma mais precisa, ele estava preocupado com a vida individual só como visto no contexto de uma sociedade especial-Israel. A idéia do Reino de Deus é uma maneira de expressar esse sentimento de relação social do homem com Deus. Ela era um reino sob o domínio do Senhor, visto não apenas como rei no céu, mas como rei de Israel. 2,6: O conceito do Messias: A segunda contribuição do reino na Terra, era a figura do Messias, o “ungido”. Ao adotar o título de “rei” para seu governante, a necessidade de Israel assumiu com ele todo um complexo de idéias associadas de culturas vizinhas. Entre elas estava a crença na divindade de reis. O rei de Israel era visto, pelo menos em tribunal círculos, como uma figura humana (cf.Ps 45:6, onde o rei é chamado de “Deus”). De qualquer forma ele era Deus aprovado “filho”, responsáveis pela realização da vontade de Deus (2 Sm 7:14; Pss 2:7; 89:27; cf.Ps 110). Através dele, as orações do povo subiu a Deus, e as bênçãos de Deus fluía para o povo (2 Sm 14:17; 23:4; Sl 72:6; Lam 4:20). Seu título mais característico e instrutivo era o “ungido do Senhor”, ele possuía um carisma divino através do ato de ungir (1 Sm 10:1; 16:13). Foi essa concepção de realeza, desde que o solo a partir do qual a idéia do Messias viria a crescer. O Messias é o divino ou semi-rei divino transferido do campo da experiência presente que a expectativa de futuro. Mas as pessoas ficaram desapontados com muitos dos monarcas, Misfits e pior, que estava sentado no trono de Davi. Eles não poderiam cumprir as promessas feitas em linguagem grandiloqüente, como em seu nascimento ou coroação (cf. Sl 2, 45, 72, 110; Is 9:6-7). Houve diminuição progressiva do poder e da prosperidade do reino hebraico. Isto levou a nação a transferir as suas esperanças de um rei ideal do futuro. Essa tendência foi, finalmente, cristalizado pela extinção da monarquia terrestre em 586 aC. A frase real, “o reino de Deus / Senhor”, é encontrada pela primeira vez em 1 Crônicas 28:5: “Ele escolheu meu filho Salomão para se assentar no trono do reino do Senhor sobre Israel”. A idéia do Reino de Deus se tornaria um quadro para as verdades da religião bíblica, mas a noção de regra divina tinha que ser desembaraçados de todo território nacional, e as limitações dinásticas. Esta seria a tarefa ou função específica dos grandes profetas radicais. 3,1: Prophetic Critique: A primeira ocorrência da idéia de que Deus é o rei pode ser datado com segurança em Is 6:5, onde o profeta declara: “Meus olhos viram o Rei, o Senhor dos Exércitos!” Ênfase teológica sobre a realeza de Javé datas somente a partir deste momento , originários, em parte, em uma polêmica contra os outros deuses que foram chamados reis, especialmente Moloque, “King”, (uma distorção intencional de Melech, “Rei”, cf. 1 kg 11:7; 2 kg 23:10). É, certamente, em primeiro lugar nos livros dos grandes profetas que temos de traçar o desenvolvimento pleno da idéia do Reino de Deus. 3.2: A pré-exílico profetas: Antes do exílio a menção da realeza é infreqüente. A concepção da realeza de Deus, parece que ainda subdesenvolvido. A idéia da realeza se tornaria muito mais atraente após o exílio. Foi a primeira profetas, que deixou claro que a regra de Deus não deve ser confundida com a sorte dos reinos israelitas. Da pré-profetas do exílio, é evidente o reino de Deus exige obediência moral: “Venha o Teu reino!” Seu reino também é universal, ele não é apenas o Rei de Israel, mas um rei universal. 3,3: exílico e pós-exílico Profetas: Com a destruição do reino de Judá, e somente após o exílio, a idéia do Reino de Deus se tornou um lugar-comum da OT pensamento. Mesmo sob o reinado da monarquia de Yahweh havia sido entendida principalmente como seu domínio celeste sobre os outros seres celestiais. Esta ideia não foi perdido no exílio e pós-exílico. Além disso, uma vez que era óbvio que a regra de Deus não era universalmente reconhecido, mesmo entre o povo de Israel, a crença em uma realização plena do reino foi transferido para uma data posterior, quando um novo ato de Deus estabelecê-lo. Isto é, a idéia do reino escatológico-se olhando em direção ao ponto final da história. Algumas passagens, assumindo a mensagem do pré grandes profetas do exílio (vg. Is 2:6-21; Zeph 1:2-3:11), falar de uma decisão vinda do ímpio como um prelúdio para a criação de Deus governo justo (Is 33:7-16; 66:15-16; Ez 38-39; Joel 3:9-15.19; Mal 3:1-5). De acordo com Zacarias (2:10-11, 8:20-23) o reconhecimento da bondade do Senhor será difundido entre os gentios, para que muitos irão aderir voluntariamente ao povo de Israel (cf. Is 2:1-4, que também pode ser pós-exílio), e Deus terá domínio universal (por exemplo, é 45:2356:7). Jeremias falou pela primeira vez no primeiro testamento de uma “nova aliança” (Jr 31:31-34; cf. 1 Coríntios 11:23, 2 Coríntios 3:6), enquanto que depois de vinte anos, Ezequiel proclamou o derramamento escatológico do Espírito (Ez 36:23-28; Joel 3:1-5; cf.Acts 2:16-21). E Trito-Isaías promete que haverá uma nova criação, porque Deus vai “criar novos céus e nova terra”, onde a vida será vivida em condições idílicas (Is 65:17-25). Nesse período temos também a concepção do Servo Sofredor de Javé (Is 42:1-4; 49:1-6; 50:4-9; 52:13-53:12). O empregado é, em certo sentido, uma “figura histórica” e pode ser conectado com a esperança de OT para o reino somente do modo mais geral, como sendo o agente de Deus para trazer a “justiça” e “direito” à terra (42: 4), “luz para as nações” (49:6), e através de sua justificativa para a morte “muitos” (53:11-12). Da mesma forma, para os profetas de Deus era soberano sobre as nações. Ele iria devastar as nações estrangeiras por violar o pacto de irmandade (Amos 1:3-2:3), mas também punir Israel e Judá para a quebra da aliança (Amos 2:4-3:2; Is 10:1-11) . Haveria uma “nova aliança” entre Deus eo seu povo (Ho 2:16-20; Jr 31:31-34; cf. Ez 36:27.32), a paz entre todas as nações (Is 2:2-4; 19 :19-25) e entre todos os seres vivos (Ho 2:18; Is 11:6-9; 65:17-25). Tais esperanças, no entanto, não foram preenchidas durante o período bíblico. Segundo Isaías (Dt-Is 40-55) procurou confortar os exilados, assegurando-lhes que o seu tempo de punição foi mais uma vez que tinha recebido duas vezes por seus pecados (Is 40:2). Durante séculos, as nações estrangeiras continuaram a dominar o povo judeu e sua terra natal. Já não era claro que Deus governou os reinos da terra e outros profetas prometido e desejado para o futuro próximo do reino de Deus ou regra sobre a terra (Dn 2:44, 4:17; Hag 2:20-23; Zc 14 : 9) .1 4,1: Reino de Deus no Antigo Testamento Segundo: O tema do Reino de Deus é central nos evangelhos sinópticos. Mc usa catorze vezes e Lc trinta e duas vezes. MT tem quatro vezes apenas, mas ele substitui por trinta e cinco vezes pelo equivalente “Reino dos Céus”. Na literatura paulina, a expressão “Reino de Deus” ocorre apenas dez vezes e é substituído por equivalentes como “nova criação”, “vida no Espírito”, “vindouro”, “glória de Deus”, “herança de Deus” , “vida eterna”. “A vida eterna” é uma prestação de favorito no Quarto Evangelho (dezessete vezes, além de seis nas epístolas joaninas) do Reino de Deus, usado apenas duas vezes. Embora a expressão “Reino de Deus” foi realmente um dos lemas da pregação de Jesus, tem havido, durante a Segunda inculturação vezes Testamento pela Igreja primitiva, novo caminho para a sua tradução de modo a adaptar-se a ambientes culturais diferentes, onde o Evangelho penetrou. No período do segundo lugar, os judeus e as comunidades cristãs emergentes viveram sob o domínio romano. Além disso, os escritos Segundo Testamento atestam a actual regra de Satanás na terra. Na cena da tentação, o diabo declara que ele tem autoridade sobre “todos os reinos do mundo” (Lc 4:5-6). Os servos de Satanás, os demônios, ainda afligem a humanidade. Paulo compreendeu que o mundo estava subjugado a Satanás ou poderes do mal (1 Coríntios 2:8, 15:24-27, 2 Coríntios 4:4), enquanto que o quarto Evangelho considera Satã “príncipe deste mundo” (Jo 12:31 ; 14:30). A expressão mais explícita desse entendimento está em 1 Jo 5:19: “O mundo inteiro está no poder do maligno”. Vale ressaltar que o termo “reino de Deus” é quase totalmente ausente do Evangelho de João, ocorrendo apenas em Jo 3:3.5, aparentemente, o autor reinterpretou o conceito em termos de seu próprio interesse na “vida eterna”. O autor do Apocalipse olhou para o estabelecimento do Reino de Deus tanto no céu e na terra (11:15; 12:10), embora um novo céu e uma nova terra (21:1). No final, a nova Jerusalém que desce do céu (Ap 21:2.10), e Deus e do Cordeiro vai “reinar pelos séculos dos séculos” (22:5). Esta terá lugar em breve “, porque o tempo está próximo” (22:6-7.10.12). O autor identificou o governante mal da idade presente como Roma (chs.13; 17-18), ligada talvez, com Satanás, que era para continuar seu reinado de terror sobre a terra um pouco mais (chs.12; 20). A versão Matthaean “o Reino dos céus” não se refere a um “outro mundo” a realidade, para além da terra, e para além da morte, uma concepção puramente escatológico do Reino. Na frase Matthaean, “céu” é um circunlóquio para Deus (um termo perifrástico de Deus-judeus que substituiria o Senhor prazo por substitutos, como o nome, o poder, a glória, o céu …). Devemos entender o termo “reino de Deus ou o céu” contra o pano de fundo histórico do Povo de Deus: Israel passou por várias crises, como invasões estrangeiras, o colapso da monarquia, a destruição do Templo, exílio na Babilônia, a dominação persa, encontro com a cultura grega, a conquista romana, ambíguo reinado de Herodes, finalmente, a regra implacável dos procuradores romanos. Profético promessas de regra ideal não foram cumpridas, e, conseqüentemente, o pessimismo levantou-se: o mundo estava sob cósmica, as forças satânicas (escatologia apocalíptica dualista). Mas havia esperança de que Deus iria superar os poderes do mal, que o Criador não vai permitir que o poder do mal ao triunfo, que o go’el ( ‘vingador’) de seu povo não vai deixá-los na escravidão. Portanto, a regra de Deus é a nova ordem a ser estabelecida por meio da agitação escatológica, através da revolução de Deus. 2 4,2: Jesus eo Reino de Deus: O Reino de Deus era uma parte essencial da pregação de Jesus. O resumo e síntese da proclamação de Jesus foi como segue: “Chegou a hora: o Reino de Deus está sobre você, se arrepender e crer no Evangelho” (Mc 1:15, cf. Mt 4:17). Jesus proclama o Reino de Deus, cura, exorciza e, portanto, traz para a realização de intervenções Gods ‘libertador na história humana. A Igreja proclama que em Jesus e através da revolução de Deus “do amor” está a humanidade livre dos poderes do mal que os escravos dele. Exorcismos atividade no ministério de Jesus são, basicamente, libertadora de Deus. Com a vinda de Cristo, os poderes do mal ter sido superado, o mundo reconciliado consigo mesmo e com Deus. Como o próprio Jesus explicou seus exorcismos: “Se é pelo Espírito de Deus que eu expulso os demônios, então o Reino de Deus, que descerá sobre vós” (Mt 12:26-28). A revolução de Deus começou em e através de Jesus. Lucas tem “dedo de Deus” (Lc 11:20), ao invés de “Espírito de Deus” (versão de Lucas do ditado é mais primitivo do que o Matthaean eo dedo de Deus “é uma alusão a Ex 8:19) — em Ex 8:19, o dedo de Deus “é a intervenção salvadora de Deus para libertar o seu povo da escravidão do Egito. Atribuindo seus exorcismos ao dedo de Deus “, Jesus nos dá a entender que eles são a continuação do êxodo, o divino mesmo poder que esmagou o poder do Egito para libertar Israel está agindo em Jesus para a luta final contra o formas de alienação definitiva da humanidade. “O Reino de Deus está , eggiken)” do Mc 1:15 significa que o Brasil chegou ou      próximo ( está em cima de você. Com a vinda de Jesus, o Eschaton moveu-se do futuro para o presente, a partir da esfera da confiança em que a experiência de realizar. Podemos perguntar se o “reino” ou “Revolution” ou “Liberation”, anunciado no Evangelho, é histórica ou escatológica. Será que a libertação anunciada pelo Evangelho pertence a este mundo ou é de outro mundo? A resposta é que ela está presente e continua a ser o futuro. Reúne cerca de libertação na sua luta contra as formas históricas da alienação. E nunca será concluída dentro dos limites de conquistas históricas do homem. Ele chama para a transformação das relações humanas na Terra. O próprio Jesus viveu e morreu em serviço do Reino. 4,3: Reino de Deus e suas Implicações para a vida cristã contemporânea: O Reino de Deus está necessariamente ligada com a esperança. Ela nunca pode ser plenamente realizados na história. Ela enfatiza a encarnação do cristianismo na história real, no “alegrias e esperanças, as tristezas e sofrimentos da humanidade” (Vaticano II, GS 1). O Reino de Deus está aberto para os oprimidos e marginalizados, pessoas do nosso tempo. Uma das principais características seria o “amor preferencial” para os pobres. Jesus proclamou o Reino através da Bem-aventuranças, as parábolas, curas e exorcismos. A nossa opção preferencial pelos pobres está profundamente enraizada na pobreza, cruz e coração compassivo de Jesus. Comunidade cristã deve ser portador de alegria da notícia de que Deus ama o mundo. Deve ser envolvidos no trabalho por um mundo melhor. Trata-se de inversão de valores: os ricos são enviadas vazias (cf. Lc 1:52 f). Engloba todo o cosmos, a própria criação será liberta da escravidão da decadência, na liberdade dos filhos de Deus (cf.Rm 8:21). Espiritualidade do Reino significa ser como Cristo, construindo-o no meio das realidades real da história. No mundo real compromisso social pode implicar muitas vezes a perseguição, mesmo martyrdom.3 Conclusão: A partir desta breve pesquisa, podemos vislumbrar como o conceito de Reino de Deus foi sendo gradualmente purificado e espiritualizado. O Reino de Deus tornou-se o amor, a justiça, o ideal revelada no Evangelho, na pessoa de Jesus … * Prof.Dr.Ivo da Conceição Souza tem ensinado desde 1978 no Seminário Patriarcal de Rachol, GOA, exegese bíblica e sociologia.

Rabindranath Tagore:

Outubro 7, 2009

IDEA DA RELIGIÃO EM TAGORE

José da Conceição Souza (BIMB, 132, 1982)

“Eu tenho algo em comum com o pó e as pedras, a grama e as árvores, com todos os animais, e com todos os homens. Mas, no campo do meu ego que se destaca como um indivíduo, não tenho nada em comum com os outros, aqui estou eu, completamente diferente do resto. Que o ego é único sem um segundo, inigualável, incomparável. No meio da criação deste universo, a criação do meu ego é só minha. Neste mundo só podem entrar ao Senhor: “quem conhece o coração do homem”, e ninguém mais. Para que o ego que não tem igual no mundo inteiro, o que é uma solidão assustadora, o que uma solidão infinita. Sim, seria assustador se que o ego não foram feitos para o seu amor. Portanto, neste campo do ego livre de todos os meus maiores sofrimentos a minha separação de ti, isto é, a tristeza do meu egoísmo, e maior de toda a felicidade é a união com você, ou seja, a felicidade do amor. É o seu amor livre, que constitui-me como um ego, não a lei comum do Universo. De todas as manifestações, o homem é incomparável. O ser humano é único, porque nele Deus se revela de forma especial “. Neste ensaio, pretendo dar uma exposição sistemática de pontos de vista filosófico e religioso de Tagore Rabindranath Tagore religião não pode ser tratado para além da sua filosofia. Sua filosofia é apenas a sabedoria antiga da Índia atualizados para atender as necessidades dos tempos modernos. (1) Sua filosofia e religião passou de mão em mão. Ele próprio estava profundamente consciente de que sua abordagem essencialmente poético fez sua filosofia alguma-coisa distinta. Se pela filosofia que se destina a filosofia acadêmica com as teorias e as teorias de contador, em seguida, foi filosofia de Tagore. Mas se a filosofia é apenas uma visão em realidade, ele é tanto um filósofo como ele é um poeta. A idéia central da filosofia Tagorean é o conceito de evolução que faz a sua religião algo espontâneo para o homem e sujeito ao crescimento. Seu objetivo é sintetizar os elementos de maior valor em todas as tradições religiosas e filosóficas para suavizar as bordas e ter um curso médio entre pontos de vista alegando, para mediar entre os extremos. Ele é o pacificador suprema no domínio do pensamento moderno. (2) Ele começa com Brahmoism, passa por uma hinduísmo liberal e, finalmente, pousa sobre a religião universal, que se centra em torno do homem. Ele chama isso de religião universal, a ‘religião do homem “. (3) religião Tagorean não é culto, mas essencialmente uma experiência pessoal de vida. I. Religião e Evolução Em sua descrição geral de evolução, Tagore nos mostra a vazão de todo o processo. Primeiro veio a luz como a energia radiante de criação a partir do anel-dança dos átomos em um céu diminutivo e também a dança das estrelas no vasto e solitário teatro de tempo e espaço. Então chegou um momento em que a vida foi trazida para a arena no menor monocycle pouco de uma célula, de frente para a enormidade de coisas pesadas. Com presentes da vida de crescimento e poder de adaptação, que contradizia a unmeaningness / falta de sentido da sua massa e tornou-se não tem conhecimento do volume mas do valor da existência. Mas o milagre da criação não parou por aí, em que a partícula isolada da vida lançou em uma viagem sozinho para o desconhecido, havia uma multidão de células unidas em uma unidade maior. Uma perfeita coordenação das funções foi mantido, e não através de agregação, mas com uma qualidade maravilhosa de inter-relação complexa. (4) A marcha da evolução desdobrou as potencialidades da vida. No entanto, essa evolução chega ao fim e não continuar no plano físico. Todos os exageros deste engrandecimento física se torna um fardo, que interrompe o ritmo natural da vida e deixa tudo em um estado de absurdo e perecíveis. A mudança foi necessária. Ela veio quando o homem apareceu e desviou o curso desta evolução de uma marcha indefinido servil da grandeza física em uma liberdade de uma perfeição mais sutil e real. Assim, a evolução tem o seu valor eo clímax no homem, em seu próprio corpo, a sua mais perfeita expressão interior. Como um pensador do século XIX, Tagore não podia deixar de ser feliz com a teoria da evolução, a nota-chave do pensamento da época. Tagore afirma que esta é a evolução de que fala a ciência, a evolução do homem no universo. Aqui o homem alcança a sua realização em um corpo mais sutil fora do seu sistema físico. Ele considera que o princípio divino da unidade, o princípio de uma inter-relação interna. E este princípio da inter-relação torna-lo a encontrar sua religião. “No ideal de unidade”, diz Tagore, (homem) percebe o eterno em sua vida e em seu amor infinito “. (5) O homem encontra a imortalidade na sua multi-humanidade pessoal. Ele se torna consciente da unidade e essa consciência é espiritual. Ele se torna para ele uma verdade viva energização e não uma mera idéia subjetiva. O esforço para ser fiel a esta verdade de vida é a religião do homem. Os sentidos externos dar ao homem a visão do universo físico. Mas a faculdade interior, sua imaginação, luminoso, ajuda o homem a encontrar seu relacionamento com o Ser Supremo dos outros homens, o universo da personalidade. O resultado é bastante surpreendente. Quando o curso da evolução avançou para a fase de Man, seu caráter mudou, mas mudou a ênfase principalmente a partir do corpo à mente. “(6) No entanto, como eu disse acima, não há um só corpo e da mente no homem: não há é também e sobretudo o homem pessoal. Este homem pessoal é o mais alto nele. Tem relações pessoais de seus próprios com o mundo grande e chega a ele por algo para satisfazer a sua personalidade. Essa relação é a verdade fundamental do mundo de aparências. O princípio divino de inter-relação interior leva o homem a descobrir a verdade que revela a divindade em si, a sua humanidade, a humanidade do seu Deus, ou a divindade do homem, Eterno, em outras palavras, a religião do Homem. O homem individual é a expressão da grande homem. Ele encontra satisfação nele e, assim, cumpre n’Ele o sentido da perfeição, que, idealmente, habita no homem supremo, o amor de inspiração para este ideal no indivíduo e levando-o a perceber isso. Esse impulso para a realização vem do sentimento de intimidade com a natureza, não a natureza física, mas o que satisfaz a nossa personalidade, torna a nossa vida rica e estimula a nossa imaginação. Mas este o verdadeiro prazer da nossa personalidade nunca pode ser obtida através da satisfação da ganância, mas apenas através da renúncia do nosso eu individual com o Self Universal. Por este mundo, que é todo o movimento, é permeado por uma unidade suprema. (7) Assim, o objetivo maior da nossa vida é para revelar em nós mesmos, através da renúncia de si mesmo, o Deus do universo humano cuja mente que nós compartilhamos em todo o nosso conhecimento verdadeiro. Através de nossas limitações, temos de perceber o homem supremo que não tem limitações individuais. (8) A ciência não pode dar-nos que, com o qual não está em causa. A ciência está preocupado apenas com o mundo impessoal das verdades. Religião percebe estas verdades e as ligações deles com as nossas necessidades mais profundas, dando significado universal para a nossa consciência individual. Religião aplica valores de verdade e só quando bur Universo está em harmonia com o Homem Eterno, nós sabemos que a verdade, nos sentimos tão bom e beleza. (9) O santuário ea oração mais fervorosa ressuscitou o coração humano de acordo com Tagore é: “O auto-te revelar um lado, revelar-te em mim.” (10) Esta deve ser a nossa oração em cada momento, porque “estamos na miséria porque somos criaturas de self – o self que é inabalável e estreito, que não reflete a luz, que é cego para o Infinito. Nosso self é alto com o seu próprio clamor dissonante – não é uma harpa cujas cordas afinado vibrar – com a música do Eterno “. Nossos corações rasos são incomodados com todos os tipos de arrependimentos e anseios, o descontentamento e as falhas, porque não encontramos nossas almas e não manifesta a auto-revelação espírito dentro de nós. A mudança no mundo, o processo contínuo de evolução que nos torna mais e mais fome de amor e sabedoria que pertencem à Pessoa Suprema, cujo Espírito é superior a todos nós, que amam ama todas as criaturas, superando todos os outros amores de profundidade e força. (11) 1. Evolução e do Universo Após ter visto como Tagore bases de toda a sua concepção da religião na evolução e por isso houve a necessidade do aparecimento do homem no mundo a transformar seu processo anterior, vamos agora ver como essa evolução ocorre até atingir o homem. Tagore descreve o curso da evolução de uma ilustração onde ele mostra uma criança improvisar uma história. Ele escreve que a criança fez imaginar-se estar em um quarto escuro trancado do lado de fora. Então ele perguntou o que ele faria para sair da sala. Em resposta, ele disse que a primeira coisa seria a gritar por ajuda. Mas para evitar qualquer sucesso a porta foi imaginado para ser feito de aço, eo molho de chaves Tagore tinha com ele não se enquadraria, assim que a criança estava muito feliz com o desenvolvimento de toda a cena como em cada uma obstrução propôs a cativeiro não encontrar uma forma de removê-lo. (12) A improvisação desenvolve o processo de pensar e de progressão na mente da criança. Segundo a Tagore, da mesma forma de desenvolvimento é visto na história da vida de evolução. Não há criatividade e contínuo processo de conquista. Assim, o pássaro foi agraciado com um maravilhoso par de asas, a fim de resistir ao ar, os peixes foram feitas com equipamentos para movimentação na água, e houve um sucesso atrás do outro em lidar com as leis da natureza do orientador com a invenção de novos instrumentos. Esta foi uma vida de concorrência implacável. Mas este progresso evolutivo seja no plano físico, destacou o profissionalismo de seus súditos, tornando-os especialistas no seu lugar próprio, definindo assim suas eficiências especiais para compartimentos estreitos. Esta forma de progresso era inevitável, pois tratava-se de materiais que são física e, necessariamente, têm suas limitações. Até agora, o sucesso é limitado. E a razão é que “as unidades de células individuais formaram-se em unidades maiores”, deixando lacunas entre elas. “Quando a unidade tem o direito de reivindicar a glória de azulejos do conjunto, mas individualmente não pode compartilhar toda a riqueza que ocupa uma história ainda a ser concluída”. Assim, o mundo material a ser um mundo de quantidade tem seus recursos limitados e não há necessidade de armas superior ao conseguir uma vitória. Como eu já disse, há no Universo um contínuo processo de conquista e há também um progresso para o reino da vida. Há uma busca da verdade. A vida aventurosa, isto é, o Espírito da Vida) parece exercer sobre suas experiências e adicionar à sua invenções apenas no nível físico. O processo evolutivo do mundo está a fazer progressos no sentido da revelação de sua verdade. É em busca de valor interior, que não está na extensão do espaço e duração no tempo. Este valor interior será encontrado na religião. Até agora, este avanço foi puramente físico. Evidentemente que é puramente físico tem seus limites, como a casca de um ovo, a libertação não pode deixar de ser na atmosfera do Infinito que é indefinível e invisível. Consequentemente, a religião não pode ter nenhum significado no recinto de interesse físico ou material simples. A religião é em nenhuma parte, exceto no excedente que levamos em torno de nossa personalidade que, como o excesso na atmosfera da Terra traz com ela uma prática constante de luz e vida e também doçura. Só o homem chegou caráter multicelular em uma perfeita. forma, tanto em seu corpo e sua personalidade. Durante séculos, a sua evolução tem sido uma de consciência que tentaram evitar os limites do isolamento individual e incluir na sua relação com uma totalidade que pode ser facilmente chamado Homem. Esta relação, principalmente no nível instintivo, quer encontrar a sua plena consciência. Evolução física é buscar eficiência na comunicação com o mundo físico, mas a evolução da consciência do homem busca a verdade em perfeita harmonia com o mundo da personalidade. (10) Desde que eu tenho falado sobre o “progresso evolutivo” seria útil para ver o que significa Tagore pelo progresso. Pelo progresso ele, a oferta crescente de instalações (tanto material e moral) para o desenvolvimento geral e livre expressão da personalidade humana, sem discriminação. De sua próprias palavras, um vê o que ele espera da vida “eu acredito”, escreve ele, “somente quando é progressiva, e em curso” apenas quando está em harmonia com a vida. Eu pregar o – 13 liberdade do homem da escravidão do fetiche da vastidão, a não-humanos (14) Sem a vida torna-se progressos Progresso sentido é o próprio cerne do significado da vida humana. Significa que nossa evolução para uma maior e mais rica estar. (1 5) Para resumir: Primeiro, o processo evolutivo foi mecânico e sem sentido. Então a vida surgiu a fábrica e começaram a existir. Não há nenhuma consciência mental e, conseqüentemente, não há nenhum grau mais elevado e mais sutil das actividades nele. E esta é apenas uma progressão superficial na estrada a níveis mais elevados de valores, que são realizados no homem. 2. Evolution and Man Evolução atinge o homem e toda a dependência sobre a natureza instintiva está quebrado. O homem como um animal ainda é dependente da natureza, mas como um homem que ele é “um Estado soberano que constrói seu mundo e as regras dele. Ele proclama a liberdade contra as leis estabelecidas da Natureza. Na evolução do homem ocorre em A. direção diferente: Temos no homem uma transição da mente vital para refletir e pensar a mente e, consequentemente, temos nele um maior poder de observação, invenção e criação estética. Após atingir o estágio da evolução humana difere do que foi em dois pontos: um, a partir de agora é conduzida por um esforço consciente e dois, não se limita a progressão da natureza da superfície. O homem é uma pessoa e, como tal, tem de perceber sua personalidade. Perfeição Man desejos e essa perfeição só pode ser alcançado em liberdade. Uma liberdade leva a outra e homem atinge a liberdade de opinião e de acção que lhe dá liberdade mental análoga através de sua imaginação. Liberdade de opinião e ação dá ao homem a liberdade “de cometer erros, para lançar em aventuras desesperadas”. (16) A primeira quebra da lei e, em seguida, faz a lei, o que leva-lo sob a verdadeira auto-regra. O homem colocou uma curva no caminho da evolução e se recusou a continuar sujeitos a ela. O homem tem atravessado os limites da natureza animal, uma vez que a diferença importante entre o animal eo homem é o seguinte: quando o animal não pode ultrapassar os limites de necessidades é como um lojista de varejo que está satisfeito apenas com um pequeno lucro de seu comércio, o homem no comércio da vida é como um grande comerciante que ganha mais do que normalmente gasta. Há um excesso tremendo de riqueza na vida do homem, que o torna livre para ser inútil e irresponsável, em grande medida. Este é o único momento em que o homem é consciente de si mesmo. É o excesso de sentimentos resultou de liberdade, em busca de sua saída da arte, que faz o homem sentir sua personalidade. Os animais não têm auto-consciência real. Personalidade nasce do excesso de sentimentos e não há desejo de se expressar. Esta auto-expressão da personalidade é atingido pelo art (ou seja, a perfeição em harmonia). Assim, o homem se torna criativa e desejos de construir a sua religião. Mas isso não significa que a arte é a única expressão adequada da personalidade. Não pode também ser um artista sem personalidade, por um lado, e não pode ser um homem simples, dotado de personalidade, por outro, e ainda os dois podem ter união com Deus. (17) Livre como ele é, naturalmente, o homem alega parentesco com Deus, que aperfeiçoa a ele e ao Universo e faz a sua religião tolerante. Este poder criativo é uma marca distintiva do homem. “(O homem) está ciente de que ele não é imperfeito, mas incompleta. Ele sabe que em si mesmo algum sentido ainda não foi realizado … O convite está no fundo de sua mente o chamado de sua própria verdade interior. Que está além do seu conhecimento directo e de análise lógica “. (18). Tagore encontra Deus, o espírito eterno, em todos os objetos. Para ele, o espírito eterno é pessoal: ele é a Pessoa Suprema. Ele diz que desde que o homem nasce para a perfeição, o desejo de que leva o homem de volta à fonte de onde ele veio •. O homem está inquieto até que ele acha da união, da verdade e de parentesco com Deus. Sua liberdade faz bin: – tempo para uma união espiritual que ele é capaz de adquirir apenas através da religião. (19) A religião faz o homem determinado a estabelecer o vínculo de parentesco com o Ser Supremo. O homem quer ir fundo no mistério da sua própria e, portanto, não pode deixar de sentir que a verdade de sua personalidade tem tanto sua relação e sua perfeição em um mundo sem fim da humanidade. Uma vez que essa união tem de ser estabelecido com um ser cuja atividade é mundial e cuja morada é o coração da humanidade, não pode ser uma união passiva. Portanto, Tag9re parece dar muita importância à necessidade de ação. Ele diz que a vida por sua característica própria, não pode ser concluída dentro de si. Deve vir e encontrar sua verdade também no exterior. E o corpo não pode viver se não tem nenhuma relação com a luz exterior e ar; ele falhar, se as atividades internas parar “Contudo”, Tagore escreve, “isso não é suficiente, o corpo é exteriormente inquieto o tempo todo. Conduz a sua vida -lo para uma dança sem fim de trabalhar e jogar fora, de forma líquida pode. • estar satisfeito com as circulações de sua economia interna, e. só encontra a plenitude da alegria em sua ida excursões ~ (20) Se o corpo não pode permanecer passivo, muito mais a alma. Se o homem quer para completar e aperfeiçoar-se, ele tem que fazê-lo e pode fazê-lo apenas pela identificação de sua alma com a alma de todos os povos. Tagore says: “Ela (a alma) não pode viver em seus próprios sentimentos internos e imaginações. É sempre a precisar de objetos externos, não só para alimentar a sua consciência interior, mas a aplicar-se em ação, não só para receber, mas também para dar. O verdadeiro verdade é que não podemos viver se dividirmos o que é a própria verdade em duas partes. Devemos obedecer nele dentro e por fora. Em qualquer aspecto que negá-lo nós mesmos nos enganamos e incorrer em perdas. Brahma Ji ~ s ~ o ‘; ~ L ~ m ~ MB, l t ~ ~ ~ ~ não me ea ~ e Brahman “. (11) Este intercâmbio recíproco de dar e receber implica a alienação dos nossos interesses egoístas e só então ele vai fazer-nos mundo dos trabalhadores que trabalham sem descanso para todos. No entanto pequena em extensão do nosso trabalho é, se ela é boa, ela manifesta o seu carácter universal para o Ser Divino do mundo de trabalho que é a Grande Alma, no everi? Morador 1herent nos corações de todos os povos. Finalmente, o homem como a satisfação de ver sua religião, chegando a um estado superior, onde fica a verdade da personalidade humana. Tagore insiste muito na união com Brahman, a verdade da personalidade humana, que silenciosamente chora por Mukti, a liberdade, na verdade, que se expressa na ação. (‘~). E continua a ação é o jogo de alegria. Escusado será dizer que não podemos alcançar esta união com Deus, exceto pelo rumo sempre em nossa mente um pensamento de amor para todas as criaturas. I – 17 3. Evolução e Liberdade Na religião o homem início era apenas sobre uma base física no sentido de que seus esforços foram dirigidos mais para ganhar uma perfeita comunhão com as forças de convidados da Natureza. Principal preocupação do homem foi para desvendar os segredos do mundo exterior, sem se preocupar com os valores interiores ~ Existentes nele. Por apenas relações físicas com o mundo externo garantiu a manutenção de sua vida, a vida que ele tinha de viver em comum com as outras criaturas: Por conseguinte, a primeira ea melhor expressão de sua religião, ao mesmo tempo tinha que ser psíquico, vinculando-o com regulamentação das observâncias externas. (93) O homem devido a sua liberdade desviado “a sua mente a sua natureza interna” e colocou maior importância sobre o “mistério de sua própria personalidade”. “E eu instintivamente seu pessoal procurou o seu cumprimento na verdade de uma personalidade superior”. (24) Zaratustra, o profeta grande pioneiro na Pérsia, quebra o gelo por ensinar que a religião tem a sua verdade em seu significado moral, e

Rabindranath Tagore:

Outubro 7, 2009

TAGORE’S IDEA OF RELIGION

José da Conceição Souza (BIMB, 132, 1982) “I have something in common with the dust and the rocks, the grass and the trees, with all animals, and with all men. But in the field of my ego that stands as an individual, I have nothing in common with others, here I am completely different from the rest. That ego is unique without a second, matchless, incomparable. In the midst of the creation of this universe, the creation of my ego is mine alone. Into this world can enter only the Lord: ‘who knows the heart of man’, and no one else. For that ego which has no equal in this whole world, what a frightening solitude, what an infinite loneliness. Yes, it would be frightening if that ego were not meant for your love. Therefore, in this field of free ego my greatest of all sorrows will my separation from you, that is, sorrow of my egotism; and the greatest of all happiness is union with you, that is, the happiness of love. It is your free love, which constitutes me as an ego, not the common law of the Universe. Of all manifestations, man is incomparable. The human self is unique, because in it God reveals himself in a special manner”. In this essay I intend to give a systematic exposition of Rabindranath Tagore’s philosophical and religious views Tagore’s religion cannot be tackled apart from his philosophy. His philosophy is only the ancient wisdom of India restated to meet the needs of modern times. (1) His philosophy and religion went hand-in-hand. He himself was deeply aware of the fact that his essentially poetic approach made his philosophy some-thing distinct. If by philosophy it is meant academic philosophy with theories and counter theories, then Tagore has philosophy. But if philosophy is only an insight into reality, he is as much a philosopher as he is a poet. The central idea of Tagorean philosophy is the concept of evolution that makes his religion something spontaneous to man and subject to growth. His aim is to synthesize the elements of highest worth in every religious and philosophical tradition to soften the edges and take a middle course between contending viewpoints, to mediate between extremes. He is t h e supreme peacemaker in the domain of modern thought. (2) He begins with Brahmoism, passes through a liberal Hinduism and finally settles on the universal religion, which centres around man. He calls this universal religion the ‘Religion of Man’. (3) Tagorean religion is not worship, but primarily a personal, living experience. I. Religion and Evolution In his grand description of evolution, Tagore shows us the outflowing of the whole process. First came the light as the radiant energy of creation starting the ring-dance of atoms in a diminutive sky and also the dance of stars in the vast, lonely theatre of time and space. Then came a time when life was brought into the arena in the tiniest little monocycle of a cell, facing the ponderous enormity of things. With life’s gifts of growth and power of adaptation, it contradicted the unmeaningness/meaninglessness of their bulk and became aware not of the volume but of the value of existence. But the miracle of creation did not stop there; in that isolated particle of life launched on a lonely voyage to the Unknown there were a multitude of cells bound together in a larger unit. A perfect coordination of functions was kept, not through aggregation but through a marvellous quality of complex interrelationship. (4) The march of evolution unfolded the potentialities of life. However, this evolution comes to an end and does not continue on the physical plane. All exaggeration of this physical aggrandizement becomes a burden, which breaks the natural rhythm of life and leaves everything in an absurd and perishable state. A change was required. It came when Man appeared and diverted the course of this evolution from an indefinite slavish march of physical grandeur in a freedom of a more subtle and royal perfection. Thus evolution finds its value and climax in Man, in his own body, its most perfect inward expression. As a nineteenth-century thinker, Tagore could not help being happy with the theory of evolution, the key-note of the thought of that time. Tagore states that this is the evolution of which Science talks, the evolution of man’s Universe. Here Man attains its realization in a more subtle body outside his physical system. He finds the divine principle of unity, the principle of an inner interrelationship. And this principle of interrelationship makes him find his Religion. “In the ideal of unity”, says Tagore, (Man) realizes the eternal in his life and the boundless in his love”. (5) Man finds immortality in his multi-personal humanity. He becomes conscious of unity and this consciousness is spiritual. It becomes for him an energizing living truth and not a mere subjective idea. The effort to be true to this living truth is man’s religion. The external senses give man the vision of the physical universe. But the inner faculty, his luminous imagination, helps man to find his relationship with the supreme self of other men, the universe of personality. The result is quite surprising. When the course of evolution advanced to the stage of Man, its character changed; it shifted its emphasis mainly from the body to the mind.” (6) Yet, as I said above, there is not only body and mind in Man: there is also and above all the personal Man. This personal man is the highest in him. It has personal relations of its own with the great world and comes to it for something to satisfy its personality. This relationship is the fundamental truth of this world of appearances. The divine principle of inner interrelationship leads man to find the truth which reveals the divinity in him-his humanity-the humanity of his God, or the divinity of Man, Eternal; in other words, the religion of Man. The individual man is the expression of the Great Man. He finds fulfillment in Him and thus accomplishes in Him the sense of perfection, which ideally dwells in the Supreme Man, inspiring love for this ideal in the individual and prompting him to realize it. This urge for realization comes from the feeling of intimacy with Nature-not the physical Nature, but that which satisfies our personality, makes our life rich and stimulates our imagination. But this true enjoyment of our personality can never be had through the satisfaction of greed, but only through the surrender of our individual self to the Universal Self. For this world, which is all movement, is pervaded by one supreme unity. (7) Hence, the highest aim of our life is to reveal in ourselves, through renunciation of self; the God of this human universe whose mind we share in all our true knowledge. Through our limitations we have to realize the Supreme Man who has no individual limitations. (8) Science cannot give us that with which it is not concerned. Science is concerned only with the impersonal world of truths. Religion realizes these truths and links them up with our deeper needs, thus giving universal significance to our individual consciousness. Religion applies values to truth and only when bur Universe is in harmony with the Eternal Man, we know it as truth, we feel it as good and beauty. (9) The deepest and the most earnest prayer risen from the human heart according to Tagore is: “O thou self-revealing one, reveal thyself in me.” (10) This should be our prayer at every moment, for “we are in misery because we are creatures of self–the self that is unyielding and narrow, that reflects no light, that is blind to the Infinite. Our self is loud with its own discordant clamour–it is not a tuned harp whose chords vibrate –with the music of the Eternal”. Our shallow hearts are troubled with all kinds of regrets and anxieties, discontent and failures because we have not found our souls and not manifested the self-revealing spirit within us. The change in the world, the continual process of evolution makes us more and more hungry for the love and wisdom that belong to the Supreme Person whose Spirit is over all of us, who loving Him loves all creatures, exceeding all other loves in depth and strength. (11) 1. Evolution and the Universe After having seen how Tagore bases his whole conception of Religion on Evolution and why there was a need of man’s appearance in the world to turn its former process, let us now see how this evolution takes place until it reaches man. Tagore describes the course of evolution by an illustration where he shows a child improvising a story. He writes that the child made him imagine himself to be in a dark room locked from the outside. Then it asked him what he would do in order to come out of the room. In reply he said that the first thing would be to shout for help. But to prevent any success the door was imagined to be made out of steel, and the bunch of keys Tagore had with him would not fit, so that the child was very happy at the development of the whole scene as at each obstruction proposed the captive would not find out a means of removing it. (12) The improvisation develops the process of thinking and progression in the child’s mind. According to Tagore, the same manner of development is seen in the life’s story of evolution. There is creativeness and continual process of conquest. Thus was the bird gifted with a marvellous pair of wings in order to resist the air; the fish was furnished with appliances for moving in the water; and there was one success after the other in dealing with the laws of the guiding Nature with the invention of new instruments. This was a life of ruthless competition. But this evolutionary progress being on the physical plane emphasized the professionalism of its subjects, making them specialists in their own place, thus defining their special efficiencies to narrow compartments. This form of progress was inevitable because it dealt with materials that are physical and necessarily have their limitations. So far success is limited. And the reason is that “the units of single cells formed themselves into larger units “, thus leaving gaps between them. “While the unit has the right to claim tile glory of the whole, yet individually it cannot share the entire wealth that occupies a history yet to be completed”. So the material world being a world of quantity has its resources very limited and there is a need of superior weapons to win a victory. As I already said, there is in the Universe a continual process of conquest and there is also a progress for the kingdom of life. There is a search for Truth. The adventurous Life that is, the Spirit of Life) seems to carry on her experiments and add to her inventions just on the physical level. The evolutionary process of the world is making headway towards the revelation of its truth. It is in search for inner value, which is not in the extension in space and duration in time. This inner value will be found in religion. So far this advance has been purely physical. Evidently what is purely physical has its limits like the shell of an egg; the liberation cannot but be in the atmosphere of the Infinite that is indefinable and invisible. Consequently, religion can have no meaning in the enclosure of mere physical or material interest. Religion is nowhere except in the surplus we carry around our personality the surplus which like the atmosphere of the earth brings to her a constant circulation of light and life and also delightfulness. Only man has reached multicellular character in a perfect. manner both in his body and his personality. For centuries his evolution has been one of consciousness that tried to avoid the bounds of individual separateness and to include in its relationship a wholeness that may be easily called Man. This relationship, mostly on instinctive level, wants to find its full awareness. Physical evolution is seeking efficiency in communication with the physical world, but the evolution of Man’s consciousness seeks for truth in a perfect harmony with the world of personality. (10) Since I have spoken about the “evolutionary progress” it would be helpful to see what Tagore means by progress. By progress he means the increasing provision of facilities (both material and moral) for the all-round development and free expression of the human personality without discrimination. From his own words one sees what he expects from life “I believe “, he writes, “only when it is progressive, and in progress’ only when it is in harmony with life. I preach the –13 freedom of man from the servitude of the fetish of hugeness, the nonhuman (14) Without progress life becomes meaningless Progress is the very heart of the significance of human life. It means our evolution into greater and richer being. (1 5) To sum up: First, the evolutionary process has been mechanical and meaningless. Then life has appeared and the plant began to exist. There is no mental awareness and consequently there is no higher and subtler grade of activities in it. And this is only a superficial progression on the road to higher ranks of values, which are realized in Man. 2. Evolution and Man Evolution reaches man and all instinctive dependence upon nature is broken. Man as an animal is still dependent on Nature, but as a Man he is ‘a sovereign who builds his world and rules it. He proclaims freedom against the established laws of Nature. In man evolution takes place in a. different direction: We have in man a transition from vital mind to reflecting and thinking mind and consequently we have in him a higher power of observation, invention and aesthetic creation. After it reaches the human stage evolution differs from what it has been on two scores: one, it is henceforth conducted by conscious effort; and two, it is not confined to the progression of surface nature. Man is a person and as such he has to realize his personality. Man desires perfection and this perfection can be attained only in freedom. One freedom leads to another and man attains the freedom of view and action which gives him analogous mental freedom through his imagination. Freedom of view and action gives man the freedom “to make mistakes, to launch into desperate adventures”. (16) Freedom first breaks the law and then makes the law, which brings it under true self-rule. Man has put a bend in the path of evolution and refused to remain subject to it. Man has crossed the boundaries of animal nature, since the important difference between the animal and man is as follows: while the animal cannot move beyond the limits of is necessities like a retail shopkeeper who is satisfied only with a small profit from his trade, man in life’s commerce is like a big merchant who earns more than he usually spends. There is a tremendous excess of wealth in man’s life, which makes him free to be useless and irresponsible to a great extent. This is the only time when man is conscious of himself. It is the surplus of feelings resulted from freedom, seeking his outlet in Art that makes man feel his personality. Animals have no real self-consciousness. Personality is born from the excess of feelings and there is yearning to express himself. This self-expression of personality is attained by Art (that is, perfection in harmony). Thus, man becomes creative and desires to build up his religion. But it does not mean that Art is the only adequate expression of personality. There can also be an artist without personality on the one hand; and there can be a simple man with personality, on the other; and yet both of them can have union with God. (17) Free as he is, man naturally claims kinship with God who perfects him and the Universe and makes his religion broad-minded. This creative power is a distinguishing mark of man. “(Man) is aware that he is not imperfect, but incomplete. He knows that in himself some meaning has yet to be realized… The call is deep in his mind-the call of his own inner truth. which is beyond his direct knowledge and analytical logic”. (18). Tagore meets God, the eternal spirit, in all objects. To him the eternal spirit is personal: he is the Supreme Person. He says that since man is born for perfection, the urge for it takes man back to the source from where •he came. Man is restless until he finds union, truth and kinship with God. His freedom makes bin:- long for a spiritual union that he is able to acquire only through religion. (19) Religion makes man determined to establish the bond of kinship with the Supreme Being. Man wants to go deep into the mystery of his own self and therefore cannot help feeling that the truth of his personality has both its relationship and its perfection in an endless world of humanity. Since this union has to be established with a Being whose activity is world-wide and whose dwelling-place is the heart of humanity- it cannot be a passive union. Therefore, Tag9re seems to give much importance to the need of action. He says that life by its very characteristic cannot be complete within itself. It must come and find its truth also outside. And the body cannot live if it has no relation with the outside light and air; it fails, if the inner activities stop ” Yet”, Tagore writes, “this is not enough; the body is outwardly restless all the while. Its life leads it to an endless dance of work and play outside; it can net. • be satisfied with the circulations of its internal economy, and. only finds the fulfillment of joy in its outward excursions ~ (20) If the body cannot remain passive, much more the soul. if man wants to complete and perfect himself, he has to do it and can do it only by the identification of his soul with the Soul of all people. Tagore says: “It (the soul) cannot live on its own internal feelings and imaginings. It is ever in need of external objects; not only to feed its inner consciousness but to apply itself in action, not only to receive but also to give. The real truth is, we cannot live if we divide him who is truth itself into two parts. We must abide in him within as well without. In whichever aspect we deny him we deceive ourselves and incur a loss. Brahma~ Ji~s ‘;o~ l~f~ mB,~l~t me no~ ~ea~e Brahman”. (11) This mutual interchange of give-and-take implies divestment of our selfish interests and only then it will make us world-workers restlessly working for all. However small in extent our work be, if it is good, it manifests its universal character For the Divine Being the world-worker who is the Great Soul, in the everi?1herent dweller in the hearts of all people. Finally, man as the satisfaction of seeing his religion coming to a higher state, where he gets the human truth of personality. Tagore insists very much in the union with Brahman-the human truth of personality-which silently cries for mukti, the freedom in truth which is expressed in action. (‘~). And he continues that action is the play of joy. Needless to say, we cannot achieve this union with God except by bearing always in our mind a loving thought for all creatures. I –17 3. Evolution and Freedom In the beginning man’s religion was only on a physical basis in the sense that his efforts were directed more towards gaining a perfect communion with the bidden forces of Nature. Man’s chief preoccupation was to unveil the secrets of the external world without bothering a b o u t the inner values ~ existent in it. For only physical dealings with the external world secured the maintenance of his life, the life which he had to live in common with the other creatures: Consequently, the first and the best expression his religion at the time had to be psychical, binding him with regulations of external observances. (93) Man owing to his freedom diverted “his mind to his inner nature” and placed higher importance on the “mystery of his own personality”. “And instinctively his personal self sought its fulfillment in the truth of a higher personality”. (24) Zarathustra, the great pioneer prophet in Persia, breaks the ice by teaching that religion has its truth in its moral significance, and

Mahatma Gandhi (1869-1948)

Outubro 1, 2009

GANDHI’S MESSAGE ON POLITICS *Fr.Ivo da Conceição Souza Of Gandhi, the great scientist Albert Einstein wrote in July 1944 that “generations to come, it may be, will scarcely believe that such a one as this ever in flesh and blood walked upon this earth”. He is one of the most dynamic and saintly figures of modern times, a truly great leader. He was really a “great Soul” (MAHATMA). At the end of a prayer meeting (or while he was going to the court-yard for prayer) on January 30, 1948, Gandhi was pleased to hear from his Hindu and Muslim friends that Delhi had experienced “a reunion of hearts”, but soon after he touched the hands of Nathuram Vinayak GODSE together, smiled and blessed them, he fell at the shot of a pistol and died with a murmur: “Oh, God”. Godse, a thirty-five year old editor and publisher of a Hindu Mahasabha weekly in Pune, was bitter that Gandhi made no demands on Muslims, although he did not hate Gandhi. The then Prime Minister of India, Pandit Jawaharlal Motilal Nehru, conveyed the news to the country by radio: “The light has gone out of our lives and there is darkness everywhere and I do not quite know what to tell you and how to say it. Our beloved leader, BAPU as we call him, the father of our nation, is no more. Perhaps I am wrong to say that. Nevertheless, we will not see him again as we have seen him these many years. We will not run to him for advice and seek solace from him, and that is a terrible blow not to me only but to millions and millions in this country. And it is difficult to soften the blow by any advice that I or anyone else can give you”. “The light has gone out, I said, and yet I was wrong. For the light that shone in this country was no ordinary light. The light that has illumined this country for these many years will illumine this country for many more years, and a thousand years later that light will still be seen in this country, and the world will see it and it will give solace to innumerable hearts…” His message still resounds on our ears. Gandhi should lead us today to progress, harmony and peace. It is dis¬heartening to witness national disintegration based on the wrong notion of religion, politics and human welfare. In his political struggle, Gandhi was led by his religious principle of self-realization. He narrates his “experiments” in the spiritual field, from which he has derived power for working in the political field. Therefore, he says, there can be no room for self-praise, but only for humility by feeling his own limita¬tions and shortcomings. Let us hear his wn words: “For me, politics bereft of religion are absolute dirt, ever to be shunned. Politics concerns nations and that which concerns the welfare of others must be one of the concerns of a man who is religiously inclined, in other words, a seeker after God and Truth… God and Truth are convertible terms and if anyone told me that God was a God of untruth or a God of torture I would decline to worship Him. Therefore in politics also we have to establish the Kingdom of Heaven” (YOUNG INDIA, June 18, 1925). Being a sincere seeker of truth, he could not subscribe to the methods of bribery and deceit. It was devotion to Truth that has drawn him into the politi¬cal field. His experiments in the political field are but ex¬pression of his spiritual life. What he wanted to achieve was self-realization, to see God face to face, to attain MOKSHA (or salvation which was for him oneness with God). He lived in pursuit of this goal (see The Story of My Experiments with Truth, Phoenix Press, London, 1949, Introduction). This is the goal of all his endeavours: to see the universal and all-pervading Spirit of Truth, face to face. But one cannot aspire after that, unless one loves “the meanest of creation as oneself”. Without the slightest hesitation he could say that “those who say that religion has nothing to do with politics do not know what religion means” (M.K.Gandhi, The Story of My Experiments with Truth, “Farewell”, p.420). Politicians of today are exploiting the ignorance of the millions of illiterate people of India for their political mileage. They are giving them wrong notion of religion and exploiting even religious symbols to gain votes. But people should know what is the “true religion” and abide by it. When we witness rampant political gimmicks, immorality and scams, we cannot shun religion from politics. Only religion can purify politics, which has become a dirty game among us. Every religion teaches us to love God and our fellow men and women. How can a dirty politician say that he loves the nation when he is corrupt? It is his selfish interest that is his top-priority. We hope that Mahatma Gandhi will inspire us all, and particularly our politicians, to serve selflessly our country.

 

MESSAGE de Gandhiji sur la Politique
*M.l’Abbé Ivo Souza da Conceição Souza
       De Gandhi, le grand scientifique Albert Einstein a écrit en Juillet 1944 que “les générations à venir, elle mai être, aura peine à croire qu’un tel individu comme ça jamais dans la chair et le sang a marché sur cette terre“. Il est l’un des personnages les plus dynamiques et saints des temps modernes, un chef de vraiment grand file. Il était vraiment une “grande âme” (connu comme Mahatma).
À la fin d’une réunion de prières (ou alors qu’il se rendait à la cour pour la prière) le 30 Janvier 1948, Gandhi a été heureux d’entendre de ses amis hindous et musulmans que Delhi avait vécu «un regroupement des cœurs», mais peu après avoir touché les mains de Nathuram Vinayak Godse ensemble, sourit et il les bénit, il est tombé à l’image d’un pistolet et est mort avec un murmure: «Oh, mon Dieu”. Godse, âge de trente-cinq années, ancien rédacteur et éditeur d’un hebdomadaire de la Mahasabha Hindoue à Pune, en était amer que Gandhi n’a fait aucune demande aux musulmans, même s’il ne hait pas Gandhi.
     Alors le Premier Ministre de l’Inde, Pandit Jawaharlal Motilal Nehru, a acheminé des nouvelles pour le pays par la radio: “La lumière est sortie de nos vies et il y a les ténèbres partout et je ne sais pas trop quoi vous dire et comment le dire. Notre chef bien-aimé, BAPU comme nous l’appelons, le père de notre nation, n’est plus. Peut-être ai-je tort de dire cela. Néanmoins, nous ne saurons pas le revoir, comme nous l’avons vu ces nombreuses années. Nous ne fuirons pas pour lui demander conseil et trouver un réconfort de lui, et c’est un coup terrible non seulement à moi mais à des millions et des millions dans ce pays. Et il est difficile d’amortir le choc par tous les conseils que moi ou quelqu’un d’autre peut vous donner “.
     “La lumière est sortie, je l’ai dit, et pourtant je me trompais. Car la lumière qui a brillé dans ce pays n’était pas la lumière ordinaire. La lumière qui a illuminé ce pays pendant ces nombreuses années illuminera ce pays pendant de nombreuses années, et mille ans plus tard que la lumière sera toujours vue dans ce pays, et le monde va la voir et elle vous donnera consolation pour les cœurs innombrables… “
      Son message résonne encore à nos oreilles. Gandhi doit nous conduire aujourd’hui au progrès, l’harmonie et la paix. Il est disréconfortant d’observer que la désintégration du pays repose sur l’idée erronée de la religion, la politique et le bien-être humain.
     Dans sa lutte politique, Gandhi a été conduit par son principe religieux de l’auto-réalisation. Il raconte ses «expériences» dans le domaine spirituel, d’où il a puisé de puissance pour travailler dans le terrain politique. Par conséquent, dit-il, il ne peut y avoir de place pour l’auto-louange, mais seulement à l’humilité par le sentiment de sa propre limitations et les lacunes. Écoutons ses paroles: «Pour moi, la politique privée de la religion sont la saleté absolue, jamais on se détourne. Concerne la politique des nations et celle qui concerne le bien-être des autres doit être une des préoccupations d’un homme qui est religieusement incline, autrement dit, un chercheur de Dieu et la vérité … Dieu et la vérité sont des termes convertibles et si quelqu’un me dit que Dieu était un Dieu de mensonge ou d’un Dieu de la torture je refuserais de l’adorer. Par conséquent, en politique aussi, nous devons établir le Royaume des Cieux »(Young India, le 18 Juin, 1925).
Étant un chercheur sincère de la vérité, il ne pouvait pas souscrire à des méthodes de corruption et de tromperie. Il a été dévoué à la vérité qui a attiré dans le domaine politique. Ses expériences dans le domaine politique ne sont que des expressions de sa vie spirituelle. Ce qu’il voulait était de parvenir à la réalisation de soi, de voir Dieu face à face, afin d’atteindre Moksha (ou le salut qui était pour lui l’unité avec Dieu). Il vivait dans la poursuite de cet objectif (voir The Story of My Experiments with Truth, Phoenix Press, Londres, 1949, Introduction).
      C’est l’objectif de tous ses efforts: pour voir l’universel et omniprésent Esprit de vérité, face à face. Mais on ne peut pas prétendre par la suite, à moins que l’on aime »le dernier de la création comme soi-même”. Sans la moindre hésitation, il pourrait dire que «ceux qui disent que la religion n’a rien à voir avec la politique ne savant pas ce que la religion signifie” (MKGandhi, The Story of My Experiments with Truth, “Farewell”, p.420).
    Les politiciens d’aujourd’hui exploitent l’ignorance des millions de personnes analphabètes de l’Inde de leur kilométrage politique. Ils donnent leur idée erronée de la religion et exploitent les symboles même religieuses pour gagner des voix. Mais les gens devraient savoir ce qu’est la «vraie religion» et s’y conformer. Lorsque nous témoignos la rampante “gimmicks” politique, l’immoralité et les escroqueries, nous ne pouvons pas fuir la religion de la politique. Seule la religion peut purifier la politique, qui est devenu un sale jeu parmi nous.
      Chaque religion nous enseigne à aimer Dieu et nos semblables, hommes et femmes. Comment un politicien sale pourra dire qu’il aime la nation quand il est corrompu? C’est son intérêt égoïste qui est sa priorité absolue.
      Nous espérons que le Mahatma Gandhi va nous inspirer tous, et particulièrement nos politiciens, de servir notre pays avec abnegation.
  Messaggio di Gandhiji sulla Politica
   Don Ivo da Conceição Souza
       Di Gandhi, il grande scienziato Albert Einstein scrisse nel luglio 1944 che “le generazioni a venire, possono essere, sarà quasi a credere che un tale, come mai questo in carne ed ossa camminò su questa terra“. Egli è una delle figure più dinamiche e più sante dei tempi moderni, un capo davvero grande. Egli era veramente una “grande anima” (Mahatma).
Al termine di un incontro di preghiera (o mentre si recava al cortile per la preghiera) il 30 gennaio 1948, Gandhi è stato lieto di sentire dai suoi amici induisti e musulmani che Delhi aveva avuto “una riunione dei cuori“, ma subito dopo ha toccato la mano di Nathuram Godse Vinayak insieme, sorrise e li benedisse, cadde il colpo di una pistola e morì con un soffio: “Oh, Dio”. Godse, di trentacinque anni d’età, l’editore di un settimanale della Mahasabha Induista a Pune, è stato amaro che Gandhi non faceva richieste nei confronti dei musulmani, anche se non avesse l’odio verso Gandhi.
     L’allora Primo Ministro Indiano, Pandit Jawaharlal Motilal Nehru, a trasmesso la notizia al paese attraverso la radio: “La luce è andata dalle nostre vite e c’è oscurità dappertutto e io non so bene cosa dire e come dirlo. Il nostro amato capo, Bapu come lo chiamiamo, il padre della nostra nazione, non è più. Forse ho sbagliato a dire questo. Tuttavia, noi non lo vediamo  più come abbiamo visto tutti questi anni. Noi non verremo  eseguito a lui per consigli e cercare conforto da lui, e questo è un colpo terribile, non solo a me ma per milioni e milioni di persone in questo paese. Ed è difficile per ammorbidire il colpo da un consiglio che io o chiunque altro può darci “.
     “La luce si è spenta, ho detto, ma mi sbagliavo. Per la luce che ha brillato in questo paese non era luce ordinaria. La luce, che ha illuminato questo paese per tutti questi anni, illuminerà questo paese per molti anni ancora, e un migliaio di anni dopo che la luce sarà ancora vista in questo paese, e il mondo la vedrà e darà sollievo a innumerevoli cuori. .. “

      Il suo messaggio risuona ancora sulle nostre orecchie. Gandhi dovrebbe portare oggi al progresso, l’armonia e la pace. É disincoraggiante per testimoniare la disintegrazione nazionale, basata sulla nozione sbagliata della religione, della politica e del benessere umano.
     Nella sua lotta politica, Gandhi è stato condotto dal suo principio religioso di auto-realizzazione. Raccontano i suoi “esperimenti” nel campo spirituale, da cui ha tratto forza per lavorare nel campo politico. Pertanto, egli dice, non ci può essere spazio per l’auto-elogio, ma solo per sentire la sua umiltà nelle proprie limitazioni e le carenze. Sentiamo le sue parole: “Per me, la politica priva di religione sarebbe sporca in assoluto, sempre da fuggire. Riguarda le nazioni la politica e ciò che riguarda il benessere degli altri deve essere una delle preoccupazioni di un uomo che è religiosamente inclinato, in altre parole, un cercatore di Dio. Dio e la verità sono termini convertibili e se qualcuno mi ha detto che Dio è un Dio di falsità o un Dio di tortura mi calo per adorarlo. Pertanto anche nella politica dobbiamo stabilire il Regno dei Cieli “(Young India, 18 giugno 1925).
Essendo un sincero ricercatore della verità, non avrebbe potuto iscriversi ai metodi di corruzione e dell’inganno. É stato la dedizione alla verità che l’ha attirato in campo politico. I suoi esperimenti nel campo politico, ma sono expressione della sua vita spirituale. Che cosa voleva ottenere era l’auto-realizzazione, di vedere Dio faccia a faccia, per raggiungere Moksha (o la salvezza, che è stato per lui unione con Dio). Ha vissuto nel perseguimento di questo obiettivo (vedi La Storia dei miei Esperimenti con la Verità, Phoenix Press, London, 1949, Introduzione).
      Questo è l’obiettivo di tutti i suoi sforzi: per visualizzare l’universale e lo Spirito di Verità che tutto pervade, faccia a faccia. Ma non si può aspirare, dopo che, a meno che non si ama “il più basso della creazione come se stessi”. Senza la minima esitazione si potrebbe dire che “coloro che dicono che la religione non ha nulla a che fare con la politica non sanno cosa significa la religione” (MKGandhi, La Storia dei miei Esperimenti con la Verità, “Farewell”, p.420).
    I politici di oggi sfruttano l’ignoranza di milioni di analfabeti in India per il loro vantaggio politico. Che stanno dando loro concetto sbagliato di religione e di sfruttare anche i simboli religiosi per guadagnare voti. Ma la gente deve sapere che cosa è la religione “vera” e rispettarla. Quando abbiamo trovato rampante testimonianza politica, immoralità e truffe, non possiamo sfuggire la religione dalla politica. Solo la religione può purificare la politica, che è diventata un gioco sporco in mezzo a noi.
      Ogni religione ci insegna ad amare Dio e i nostri simili, uomini e donne. Come può un uomo politico sporco dire che ama la nazione quando si è danneggiato? É suo interesse egoistico, che è la sua priorità assoluta.
      Ci auguriamo che il Mahatma Gandhi ci ispiri tutti noi, e in particolare i nostri politici, a servire disinteressatamente il nostro paese.

MENSAGEM DE GANDHI SOBRE POLÍTICA
* Padre Ivo da Conceição Souza
       De Gandhi, o grande cientista Albert Einstein escreveu em julho de 1944 que “as gerações vindouras, por ventura, será difícil de acreditar que uma pessoa como esta em carne e osso, tenha caminhado sobre a Terra”. Ele é uma das figuras mais dinâmicas e mais santas dos tempos modernos, um líder verdadeiramente grande. Ele era realmente uma “grande alma” (Mahatma).
No final de uma reunião de oração (ou enquanto ele estava indo para o pátio para a oração) em 30 de janeiro de 1948, Gandhi teve o prazer de ouvir de seus amigos hindus e muçulmanos que tinha experimentado “um reencontro de corações”, mas logo depois ele tocou as mãos de Nathuram Vinayak Godse, sorriu e abençoou-as, ele caiu no tiro de uma pistola e morreu balbuciando: “Oh, meu Deus”. Godse, de trinta e cinco anos de idade, editor de um semanário da Mahasabha hindú em Pune, se queixava de que Gandhi não tenha exigências sobre os muçulmanos, apesar de não odiar Gandhi.
     O então primeiro-ministro da Índia, Pandit Jawaharlal Motilal Nehru, transmitiu a notícia ao país pelo rádio: “A luz saiu das nossas vidas e há trevas em toda parte e eu não sei bem o que dizer e como dizer. O nosso amado líder, BAPU como nós o chamamos, o pai da nossa nação, já não vive. Talvez eu esteja errado em dizer isso. No entanto, não iremos vê-lo novamente, como o vimos durante tantos anos. Nós não poderemos escutar o seu conselho e buscar consolação, é um golpe terrível não somente para mim, mas para milhões e milhões neste país. E é difícil suavizar o golpe por qualquer conselho que eu nem ninguém pode dá-lo”.
     “A luz tem desaparecido, eu disse, e ainda assim eu estava errado. Por que a luz que brilhou neste país não foi  luz ordinária. A luz que iluminou o país por esses anos muitos irá iluminar este país por muitos mais anos, e mil anos depois que a luz ainda será vista neste país, e o mundo vai vê-la e ela vai dar consolação a inumeráveis corações….”
      Sua mensagem ainda ecoa em nossos ouvidos. Gandhi deve levar-nos hoje para o progresso, harmonia e paz. É disanimador testemunhar desintegração nacional baseada na noção errada de religião, política e bem-estar humano.
     Em sua luta política, Gandhi foi liderado por seu princípio religioso de auto-realização. Ele narra suas “experiências” no campo espiritual, donde ele tirou o poder para trabalhar no campo político. Portanto, diz ele, não pode haver espaço para auto-elogio, mas só por humildade, sentindo suas próprias limitações e deficiências. Vamos ouvir as suas palavras: “Para mim, a política desprovida de religião sujeira é sempre para ser evitada. Política e aquilo que diz respeito ao bem-estar dos outros deve ser uma das preocupações de um homem que é religiosamente inclinado, em outras palavras, um buscador de Deus e da Verdade … Deus e Verdade são termos conversíveis e se alguém me disser que Deus era um Deus de mentira ou um Deus de tortura eu deixaria de o adorer. Portanto, na política também é preciso estabelecer o Reino dos Céus “(Young India, 18 de junho, 1925).
Sendo um buscador sincero da verdade, ele não poderia inscrever-se os métodos de suborno e fraude. Foi a devoção à verdade que o atraiu para o campo político. Suas experiências no campo politico são expressão da sua vida espiritual. O que ele queria era atingir a auto-realização, ver Deus face a face, atingir moksha (salvação ou que era para ele a unidade com Deus). Ele viveu na prossecução deste objectivo (ver The Story of My Experiments with Truth, Phoenix Press, London, 1949, Introdução).
      Este é o objetivo de todos os seus esforços: ver o universal e o Espírito da Verdade, que tudo permeia, face a face. Mas não se pode aspirar após isso, a menos que se ama “mais malvado da criação como a si mesmo”. Sem a menor hesitação, ele poderia dizer que “aqueles que dizem que a religião não tem nada a ver com política não sabem o que significa religião” (MKGandhi, The Story of My Experiments with Truth, “Farewell”, p.420).
    Os políticos de hoje estão explorando a ignorância de milhões de pessoas analfabetas da Índia para a sua milhagem política. Estão dando-lhes noção errada da religião e da exploração de símbolos religiosos, mesmo para ganhar votos. Mas as pessoas devem saber o que é a “religião verdadeira” e respeitá-la. Quando testemunhamos desenfreados truques políticos, imoralidade e burlas, não podemos afastar a religião da política. Só a religião pode purificar a política, que se tornou um jogo sujo entre nós.
      Toda religião nos ensina a amar Deus e os homens e mulheres. Como pode um político sujo dizer que ama a nação, quando ele é corrupto? É o seu interesse egoísta que é a sua primeira prioridade.
      Desejamos que Mahatma Gandhi inspire a todos nós, e particularmente os nossos políticos, para servir abnegadamente o nosso país. 

 El mensaje de Gandhi sobre la política
* Fr.Ivo da Conceição Souza
       De Gandhi, el gran científico Albert Einstein escribió en julio de 1944 que “las generaciones venideras, que sea, apenas va a creer que una persona como esta vez en carne y hueso, caminó sobre la tierra”. Él es una de las figuras más dinámicas y santa de los tiempos modernos, un líder verdaderamente grande. Fue realmente un “gran alma” (Mahatma).
Al final de una reunión de oración (o mientras se dirigía al patio de la oración) el 30 de enero de 1948, Gandhi fue el placer de escuchar de sus amigos hindúes y musulmanes que Nueva Delhi había experimentado “una reunión de los corazones”, pero poco después de que tocó las manos de Nathuram Vinayak Godse juntos, sonrió y los bendecía, se cayó en el disparo de una pistola y murió con un murmullo: “¡Oh, Dios”. Godse, un treinta y cinco años de edad redactor y editor de un hindú Mahasabha semanal en Pune, fue amargo que Gandhi no hizo exigencias a los musulmanes, aunque él no odiaba a Gandhi.
     El entonces Primer Ministro de la India, Pandit Jawaharlal Motilal Nehru, transmitió la noticia al país por radio: “La luz se ha ido de nuestras vidas y no hay oscuridad en todas partes y yo no sé muy bien qué decir y cómo decirlo . Nuestro amado líder, Bapu como lo llamamos nosotros, el padre de nuestra nación, no es más. Tal vez me equivoco al decir eso. Sin embargo, no lo volverá a ver como lo hemos visto estos años. No vamos a correr a su consejo y buscar consuelo en él, y que es un golpe terrible no sólo a mí sino a millones y millones en este país. Y es difícil para amortiguar el golpe por cualquier consejo que yo o cualquier otra persona le puede dar “.
     “La luz se ha apagado, le dije, pero me equivoqué. Por la luz que brillaba en este país no había luz ordinaria. La luz que ha iluminado este país durante tantos años le alumbrará este país durante muchos años, y mil años después de que la luz todavía se ve en este país y el mundo lo verá y dará consuelo a los corazones de innumerables. .. ”
      Su mensaje aún resuena en nuestros oídos. Gandhi nos debe llevar a día de hoy para el progreso, la armonía y la paz. Se trata de dis ¬ alentador testimonio de la desintegración nacional basada en la noción equivocada de la religión, la política y el bienestar humano.
     En su lucha política, Gandhi fue llevado por su principio religioso de la auto-realización. Narra sus “experimentos” en el campo espiritual, de la que haya obtenido el poder para trabajar en el campo político. Por lo tanto, dice, no puede haber espacio para la alabanza propia, pero sólo por un sentimiento de humildad ¬ ciones de su propia limitación y deficiencias. Oigamos sus palabras WN: “Para mí, la política privada de la religión son la suciedad absoluta, nunca para ser rechazados. Refiere a la política de las Naciones y lo que se refiere al bienestar de los demás debe ser una de las preocupaciones de un hombre que es de inclinación religiosa, en otras palabras, un buscador de Dios y la verdad … Dios y la verdad son términos convertibles y si alguien me dijo que Dios era un Dios de falsedad o de un Dios de tortura que se negaría a adorarle. Por lo tanto en la política también tenemos que establecer el Reino de los Cielos “(Young India, 18 de junio de 1925).
Ser un sincero buscador de la verdad, no podía suscribir a los métodos de soborno y el engaño. Es la devoción a la verdad que se ha dibujado en el campo político. Sus experimentos en el campo político no son más que ex ¬ sión de su vida espiritual. Lo que quería era lograr la auto-realización, para ver a Dios cara a cara, para alcanzar Moksha (o la salvación, que era para él la unidad con Dios). Vivió en la consecución de este objetivo (ver La historia de mis experimentos con la verdad, Phoenix Press, Londres, 1949, Introducción).
      Este es el objetivo de todos sus esfuerzos: a ver lo universal y omnipresente Espíritu de verdad, cara a cara. Pero uno no puede aspirar a que, a menos que uno ama “el más humilde de la creación como a uno mismo”. Sin la menor duda de que pudiera decir que “aquellos que dicen que la religión no tiene nada que ver con la política no saben lo que significa la religión” (MKGandhi, La historia de mis experimentos con la verdad, “Despedida”, p.420).
    Los políticos de hoy son la explotación de la ignorancia de los millones de personas analfabetas de la India por su impulso político. Les están dando noción equivocada de la religión y la explotación de los símbolos religiosos, incluso para ganar votos. Pero la gente debe saber cuál es la “verdadera religión” y atenerse a ella. Cuando trucos testimonio político rampante, la inmoralidad y fraudes, no podemos rechazar la religión de la política. Sólo la religión puede purificar a la política, que se ha convertido en un juego sucio entre nosotros.
      Cada religión nos enseña a amar a Dios ya nuestros semejantes, hombres y mujeres. ¿Cómo puede un político sucio decir que ama a la nación cuando es corrupto? Que es su interés egoísta que es su máxima prioridad.
      Esperamos que el Mahatma Gandhi nos inspire a todos, y especialmente nuestros políticos, para servir desinteresadamente a nuestro país.

Gandhis BOTSCHAFT IN POLITIK
* Fr.Ivo da Conceição Souza
       Von Gandhi, schrieb der große Wissenschaftler Albert Einstein im Juli 1944, dass “Generationen kommen, kann es sein, wird man kaum glauben, dass ein solcher, wie dies jemals in Fleisch und Blut auf dieser Erde ging”. Er ist einer der dynamischsten und heiligen Zahlen der Neuzeit, ein wirklich großer Führer. Er war wirklich eine “große Seele” (Mahatma).
Am Ende eines Gebets Sitzung (oder während er wollte den Hof zum Gebet) am 30. Januar 1948 Gandhi war erfreut, von seiner hinduistischen und muslimischen Freunde hören, dass Delhi erlebt hatte “eine Wiedervereinigung der Herzen”, sondern kurz nachdem er die Hände Nathuram Vinayak Godse berührt zusammen, lächelte und segnete sie, fiel er den Schuss einer Pistole und starb mit ein Geräusch: “Oh, Gott”. Godse, ein fünfunddreißig Jahre alt Redakteur und Herausgeber eines Hindu Mahasabha wöchentlich in Pune, war bitter, dass Gandhi keine Forderungen an die Muslime, obwohl er nicht Gandhi hassen.
     Der damalige Premierminister von Indien, Pandit Jawaharlal Motilal Nehru, übermittelt die Nachricht, das Land per Funk: “Das Licht ist aus unserem Leben gegangen und es dunkel ist überall, und ich weiß nicht recht, was ich dir sagen und wie ich es sagen . Unser geliebter Führer, BAPU wie wir ihn nennen, ist der Vater unserer Nation, nicht mehr. Vielleicht irre ich mich das zu sagen., aber wir werden ihn nicht mehr sehen, wie wir gesehen haben ihn die vielen Jahre. Wir werden nicht ausgeführt um ihn um Rat und sucht Trost bei ihm, und das ist ein schwerer Schlag nicht nur für mich, sondern für Millionen und Millionen in diesem Land. Und es ist schwer, den Schlag zu mildern, indem alle Ratschläge, die ich oder sonst jemand Ihnen geben kann “.
     “Das Licht ist ausgegangen, sagte ich, und doch war ich falsch. Für das Licht, das in diesem Land war kein gewöhnliches Licht. Das Licht, dass dieses Land für die vielen Jahre beleuchtet hat, wird dieses Land für viele weitere Jahre zu erleuchten, und tausend Jahre später, dass das Licht immer noch in diesem Land gesehen werden, und die Welt wird es sehen, und es werden unzählige Herzen Trost zu geben. .. ”
      Seine Botschaft hallt noch immer auf unsere Ohren. Gandhi sollte uns heute, um die Fortschritte, Harmonie und Frieden. Es ist ermutigend zu dis ¬ zeugen nationalen Desintegration auf der falschen Vorstellung von Religion, Politik und das Wohlergehen der Menschen basiert.
     In seinem politischen Kampf, wurde Gandhi von seinen religiösen Prinzip der Selbstverwirklichung geführt. Er erzählt seine “Experimente” in der geistigen Bereich, von dem er hat die Macht für die Arbeit in den politischen Bereich abgeleitet. Deshalb, sagt er, gibt es keinen Raum für eine Selbstregulierung zu loben, sondern nur für Demut durch das Gefühl seiner eigenen begren ¬ gen und Mängel. Hören wir seine wn Worten: “Für mich ist die Politik der Religion beraubt absolute Schmutz, je gemieden werden. Politik betrifft Nationen und dem, was das Wohlergehen der anderen muss eines der Anliegen eines Mannes, der religiös ist geneigt, in anderen Worten, ein Suchender nach Gott und Wahrheit … Gott und Wahrheit sind Cabrio Bedingungen und wenn jemand sagte mir, dass Gott ein Gott der Unwahrheit oder ein Gott der Folter war, würde ich absagen, um Ihn anzubeten. Daher auch in der Politik müssen wir schaffen das Königreich des Himmels “(Young India, 18. Juni 1925).
Als aufrichtiger Sucher der Wahrheit, konnte er nicht an den Methoden der Bestechung und Betrug. Es war Liebe zur Wahrheit, die ihn in die Politik gezogen hat. Seine Experimente im politischen Bereich, sondern Ex ¬ pression von seinem geistlichen Leben. Was er erreichen wollte war Selbstverwirklichung, die Gott von Angesicht zu Angesicht zu sehen, um zu erreichen MOKSHA (oder Heil, das war für ihn die Einheit mit Gott). Er lebte in der Verfolgung dieses Ziels (vgl. The Story of My Experiments with Truth, Phoenix Press, London 1949, Einleitung).
      Dies ist das Ziel aller seiner Bemühungen: die universelle und alles durchdringenden Geist der Wahrheit, von Angesicht zu Angesicht zu sehen. Aber man kann nicht danach streben, wenn man “den niedrigsten der Schöpfung, wie man sich liebt”. Ohne das geringste Zögern er könnte sagen, dass “diejenigen, die sagen, dass Religion nichts mit Politik zu tun weiß nicht, was Religion bedeutet” (MKGandhi, The Story of My Experiments with Truth, “Farewell”, p.420).
    Politiker von heute sind die Nutzung der Unwissenheit von Millionen Analphabeten in Indien für ihre politischen Laufleistung. Sie geben ihnen falsche Vorstellung von Religion und religiöse Symbole auch nutzen, um Stimmen zu gewinnen. Aber die Leute sollten wissen, was die “wahre Religion” und von ihr zu halten. Wenn wir Zeuge grassierende politische Spielereien, Unmoral und Betrügereien, können wir uns nicht scheuen Religion und Politik. Nur die Religion kann die Politik, die ein schmutziges Spiel bei uns geworden ist, zu reinigen.
      Jede Religion lehrt uns die Liebe Gottes und unserer Mitmenschen und Frauen. Wie kann eine schmutzige Politiker sagen, daß er das Volk liebt, wenn er beschädigt ist? Es ist seine selbstsüchtigen Interesse daran, dass seine Top-Priorität ist.
      Wir hoffen, dass Mahatma Gandhi uns alle begeistern wird, und vor allem unsere Politiker, um selbstlos zu unserem Land zu dienen.